Dans Non et Oui (p. 35), Mary Baker Eddy déclare: « Lorsque les luttes humaines cesseront et que les mortels céderont avec amour au dessein de l'Amour divin, il n'y aura plus de maladie, de chagrin, de péché ni de mort. »
A une certaine période, j'ai eu l'occasion de démontrer le bienfondé de cette déclaration. Au cours de mon mandat de Premier Lecteur de la filiale de l'Église du Christ, Scientiste, à laquelle j'appartiens, je me suis aperçu un mercredi matin que, malgré tous mes efforts pour lutter contre la difficulté, ma voix allait en s'affaiblissant. Je quittai le bureau de bonne heure, afin d'éviter de parler, mais aussi afin de pouvoir prier chez moi dans le calme. Vers la fin de l'après-midi, il ne me restait plus qu'un mince filet de voix.
Je téléphonai au président de notre conseil exécutif pour l'informer de cette situation. Il me demanda sans détours ce que je souhaitais faire. Pour moi, il était évident que j'étais prêt pour la lecture de ce soir-là, que je devais être présent à ce service et que je le souhaitais. Le président me dit qu'il se tiendrait prêt à toute éventualité.
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