Ce n'était pas la première fois que je voyais un article sur la sécheresse dévastatrice qui sévit en Afrique, mais quelque chose dans celui-ci fit mouche: je ne pouvais plus fermer les yeux sur la misère de mes semblables en Afrique. Il fallait que je fasse quelque chose, mais quoi?
L'article expliquait que la sécheresse durait depuis quatorze ans, paraissait se perpétuer elle-même et s'étendre sans cesse. « De l'avis des experts, on ne peut rien faire pour combattre la sécheresse si ce n'est d'en réparer les effets par l'aide internationale, par l'envoi de denrées alimentaires et de grain aux nations sinistrées » The Christian Science Monitor, 24 janvier 1984., poursuivait l'article.
Je commençai par prendre une mesure pratique en m'informant sans retard de la manière dont je pourrais soutenir financièrement cette aide humanitaire. Après tout, le bon Samaritain de la parabole de Jésus n'a-t-il pas montré son amour en prenant soin d'abord de l'état physique du blessé? Cependant, comme Scientiste Chrétien, je savais que je pouvais faire plus.
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