Une de mes tantes fut guérie par la Science Chrétienne d’une maladie de nerfs; elle introduisit cette Science dans notre foyer. Ma grand-mère l’accepta aussitôt, mais ma mère, dès le début plutôt antagoniste, y résista; toutefois, devant la nécessité d’une intervention chirurgicale, elle fit plutôt appel à la Science Chrétienne et trouva la guérison.
C’est à peu près à cette époque, que me trouvant chez ma tante qui habitait une autre ville, je fus guérie instantanément d’une grande douleur derrière la tête et à la nuque, condition qui n’avait pas été diagnostiquée. Cette guérison fit une telle impression sur moi que longtemps après s’il m’arrivait d’être tentée de douter de la Science Chrétienne ou de m’éloigner de ses enseignements, le souvenir de cette guérison ravivait ma conviction en son efficacité.
On m’enrôla à l’École du Dimanche où fut posé le fondement d’un enseignement qui assura mon joyeux progrès ininterrompu dans la vérité.
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