Comme des milliers d'autres qui témoignent de la vérité enseignée dans la Science Chrétienne, je désire exprimer ma reconnaissance sincère en envoyant mon témoignage aux périodiques. En octobre, 1913, mon mari m'emmena en Californie dans l'espoir que je m'y rétablirais, car j'étais atteinte de la tuberculose pulmonaire à son dernier période. Peu de temps après notre arrivée un docteur dit à mon mari qu'il manquait de cœur et qu'il aurait au moins dû me laisser mourir près de ma mère. Renonçant alors à tout espoir de me rétablir, je cessai de prendre des remèdes matériels, et le docteur ne revint plus me voir. Un mercredi, la veille du Nouvel An, une chère amie me demanda de l'accompagner à l'église de la Science Chrétienne, ce que je fis. Ainsi que nous le savons tous, il y en a beaucoup qui viennent pour railler, mais qui restent pour prier. C'est ce qui m'arriva, et en rentrant chez moi je demandai à mon amie si elle voulait me permettre de lire son livre, “Science et Santé avec la Clef des Écritures” par Mary Baker Eddy. Elle y consentit et me dit qu'elle m'aiderait autant que possible. Plus tard je pus m'acheter ce livre, et au milieu du mois d'avril je fus complètement guérie. Bien que je ne sois pas bien grasse je suis très robuste, et suis très reconnaissante d'avoir appris à connaître la Science Chrétienne au moment où j'en avais grand besoin. Depuis lors j'ai eu fort peu de maux physiques et toute discorde qui est survenue a été vaincue en peu de temps.
Grâce à ma guérison mon mari a entrepris l'étude de la Science Chrétienne, et je suis si reconnaissante de savoir que c'est vraiment une religion que peuvent accepter les hommes. Au mois de janvier dernier il lui semblait impossible d'obtenir une situation, bien qu'il s'occupât de chercher partout où il y avait quelque travail en perspective. Le temps passait et le 30 juin il n'avait toujours rien; un samedi il ne nous restait plus que trente sous. Apparemment la lutte avait été longue, et lorsque mon mari me dit: “Eh bien, qu'aurons-nous à dîner demain?” je lui répondis: “Nous avons à la maison tout ce qu'il faut pour aujourd'hui. Pourquoi nous soucier du lendemain?” Puis je pris la Bible, Science et Santé et le Quarterly, et les mis sur la table devant lui en disant: “Il y a là dedans tout ce qu'il te faut, maintenant, cherche-le!” Il ne dit mot, mais se mit à étudier la leçon, et avant qu'il eût fini on l'appela au téléphone pour lui dire qu'on nous invitait à dîner le lendemain. Même alors il fut enclin à avoir des doutes et voulait savoir ce que je donnerais à l'église le lendemain matin. Je lui dis que je donnerais la somme habituelle, ce qui faisait qu'il ne nous resterait plus que cinq sous. Cette journée passa et le dimanche matin pendant que nous étions à déjeuner il y eut un coup de téléphone et on demanda à mon mari d'aller voir un monsieur au sujet d'un genre de travail qu'il n'avait plus fait depuis quatre ans. Cela nous prouva que lorsque nous renonçons à nos moyens personnels pour nous attendre au Principe divin, nous ne pouvons pas nous tromper. Mon mari dit que maintenant il se laisse volontiers guider par l'Amour divin en toutes choses.
Je suis vraiment reconnaissante pour toutes ces preuves de l'Amour toujours présent, et infiniment reconnaissante pour tout problème qui se présente, car chaque victoire remportée sur une difficulté est une preuve évidente que l'on a fait un pas vers l'Entendement divin. Aucunes paroles ne sauraient exprimer mon amour pour notre chère Guide de ce qu'elle a été assez courageuse et assez aimante pour endurer toutes choses en sorte que le monde puisse de nouveau avoir une compréhension pratique de cette grande vérité. Je suis reconnaissante à Dieu et à Christ Jésus et pleine de gratitude envers tous les amis qui m'ont aidée.
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