
Editoriaux
Les nombreuses et fort utiles découvertes de ces dernières années — radio, télévision, émanations électroniques, matières plastiques transparentes — ont mis en lumière des forces physiques précédemment inconnues ou peu comprises. Ceci représente non la production d'énergies nouvelles, mais la découverte de forces existant déjà.
Dans son livre, The First Church of Christ, Scientist, and Miscellany (p. 5), Mary Baker Eddy fait cette remarquable déclaration: « Entièrement séparée de ce songe mortel, de cette illusion et déception des sens, la Science Chrétienne vient révéler l'homme en tant qu'image de Dieu, Son idée, qui coexiste avec Lui — Dieu donnant tout, et l'homme ayant tout ce que Dieu donne.
D'après certaine tradition, Ponce Pilate était un philosophe amateur, et aurait bien des fois prononcé sa célèbre question: « Qu'est-ce que la vérité? » — même avant le jour tragique où Jésus de Nazareth comparut devant lui. Quel dommage que dans ce dernier cas, il n'attendît pas la réponse, comme nous le montre l'Évangile de Jean! Il était en face de l'homme qui, mieux qu'aucun autre, aurait pu définir clairement la vérité; au fait, toute la carrière du Maître manifestait la vérité concernant Dieu et Son expression, l'homme.
Les peuples chrétiens font profession d'être gouvernés par les enseignements du Christ Jésus, qui a mérité le titre de Conducteur et dont la doctrine fut comparée au roc — « un rocher spirituel.
Pour combattre et détruire le péché, la maladie, Mary Baker Eddy nous donne, dans Science et Santé avec la Clef des Écritures (p. 71), cette déclaration qui nous aide beaucoup: « Le mal n'a pas de réalité.
Prophète riche en inspiration, Ésaïe, ce saint Israélite dont le nom signifie « le salut de l'Éternel, » est sans aucun doute une des grandes lumières parmi les auteurs sacrés. Ses beaux cantiques, promettant une délivrance certaine à ceux qui, dans la détresse, se détournent des choses matérielles pour s'appuyer sur l'Esprit, ont au cours des âges éclairé la voie des pèlerins.
Elle est à la fois concise, riche en promesses et d'une vaste portée cette parole de Jésus: « Nul ne connaît le Fils, si ce n'est le Père. » Le « Fils » auquel le Maître fait allusion, c'est « le Fils de Dieu, le Messie ou Christ; » nous empruntons ces termes à la définition du « Fils » donnée par Mary Baker Eddy dans Science et Santé avec la Clef des Écritures (p.
Une des requêtes qu'on adresse le plus souvent au praticien de la Science Chrétienne, c'est celle-ci: « S'il vous plaît, aidez-moi à trouver ma vraie place! Je sais que je ne suis pas à ma place. » L'impression persistante de mécontentement, la croyance qu'on se trouve dépaysé, ne peut être entièrement guérie que par la réalisation de ce fait: on trouve sa vraie place lorsqu'on accepte et vit son vrai moi, expression de l'Entendement divin.
Cette parole du poète écossais Robert Burns forme en quelque sorte le thème d'un paragraphe remarquable, à la page 172 de Science et Santé avec la Clef des Écritures. Riche en inspiration, l'auteur de ce volume, Mary Baker Eddy, écrit: « Qu'est-ce que l'homme? Est-ce le cerveau, le cœur, le sang, les os, etc.
Le chapitre douze de la remarquable épître aux Hébreux se termine par une description des troubles qui secouent l'entendement mortel — et cela paraît être un tableau fort exact du monde à notre époque. Le verset vingtsept nous dit: « Ces mots: Une fois encore, indiquent le changement des choses ébranlées, comme étant faites pour un temps, afin que les choses inébranlables subsistent.