Editoriaux
Nombreux sont ceux qui parmi nous connaissent l’histoire de Noé dans la Bible : Dieu lui ordonna de construire une arche, un immense vaisseau qui allait l’abriter, ainsi que les membres de sa famille et un grand nombre d’animaux, lors d’une inondation d’une ampleur inégalée. Tandis que les eaux montaient, Noé et sa famille étaient en sécurité, grâce à la compréhension toute simple que celui-ci avait de Dieu et grâce à son obéissance.
Il arrive parfois que nous nous sentions personnellement responsables de nos maux ou personnellement chargés de les guérir. Si notre travail est placé sous le signe de la culpabilité, quelle qu’en soit la raison, ou d’un faux sens de responsabilité, nos prières pour guérir risquent elles aussi de nous sembler bien laborieuses.
Il y a peu, en parcourant sur notre site Internet plusieurs décennies de témoignages de la Science Chrétienne, j’ai été frappé par le contraste bien souvent saisissant entre les contenus des réseaux sociaux actuels et ces instantanés de vie que sont les témoignages de guérison qui nous arrivent à un rythme hebdomadaire et mensuel. Au lieu d’être, en quelque sorte, des selfies en images ou en mots, destinés en général à transmettre les plus « récents » événements familiaux ou bien des opinions, les témoignages sont à même de rendre compte de moments sacrés qui ont changé le cours de notre existence.
Tout ce que Christ Jésus enseigna était le reflet de l’amour suprême qu’a Dieu pour l’homme, et il le prouva en étant un exemple vivant de cet amour. Sa résurrection fut pour toute l’humanité la preuve ultime que l’Amour divin seul est la Vie.
On est parfois son pire ennemi. Les défauts et les tendances tenaces, contraires à nos désirs les plus nobles, semblent souvent résister comme de la mauvaise herbe bien enracinée.
Dans son ouvrage principal, Science et Santé avec la Clef des Ecritures, Mary Baker Eddy a inclus un chapitre, « L’expiation et l’Eucharistie », dans lequel elle commente longuement le sacrifice, la victoire et l’exemple de Jésus.
La période de Noël peut revêtir des sens bien différents. Les commerçants y voient souvent une manne financière, une source de revenus importante et nécessaire, alors que d’autres se plaignent que cette fête soit devenue trop commerciale.
Face à un événement majeur qui nous touche personnellement, à un problème relatif au travail ou aux études, à la problématique d’un cas que l’on souhaite guérir par la Science Chrétienne, ou simplement aux pressions de la vie quotidienne, on se sent parfois submergé, au point de ne pas savoir comment aborder la situation. Quand cela m’arrive, je pense souvent à ce passage de Science et Santé avec la Clef des Ecritures de Mary Baker Eddy : « La Science Chrétienne ne fait pas exception à la règle générale selon laquelle on n’atteint pas à l’excellence dans un domaine sans y consacrer tous ses efforts.
Si les prénoms n’appartenaient pas à un autre siècle, on aurait presque pu penser à un message posté sur Facebook : « Veillez à accueillir chaleureusement Phœbé ; elle a été si gentille et si généreuse avec tant de personnes. Saluez Prisca et Aquilas, ils ont vraiment pris de gros risques pour moi.
Durant l’été 1906, les scientistes chrétiens furent invités à se réunir pour la consécration de l’extension de L’Eglise Mère. Même les comptes rendus des journaux de l’époque semblent avoir saisi la portée d’un événement qui allait bien au-delà du simple rassemblement de quelque trente à quarante mille scientistes chrétiens venus à Boston assister aux diverses manifestations organisées à cette occasion.