
Editoriaux
Tout ce que Christ Jésus enseigna était le reflet de l’amour suprême qu’a Dieu pour l’homme, et il le prouva en étant un exemple vivant de cet amour. Sa résurrection fut pour toute l’humanité la preuve ultime que l’Amour divin seul est la Vie.
On est parfois son pire ennemi. Les défauts et les tendances tenaces, contraires à nos désirs les plus nobles, semblent souvent résister comme de la mauvaise herbe bien enracinée.
Dans son ouvrage principal, Science et Santé avec la Clef des Ecritures, Mary Baker Eddy a inclus un chapitre, « L’expiation et l’Eucharistie », dans lequel elle commente longuement le sacrifice, la victoire et l’exemple de Jésus.
La période de Noël peut revêtir des sens bien différents. Les commerçants y voient souvent une manne financière, une source de revenus importante et nécessaire, alors que d’autres se plaignent que cette fête soit devenue trop commerciale.
Face à un événement majeur qui nous touche personnellement, à un problème relatif au travail ou aux études, à la problématique d’un cas que l’on souhaite guérir par la Science Chrétienne, ou simplement aux pressions de la vie quotidienne, on se sent parfois submergé, au point de ne pas savoir comment aborder la situation. Quand cela m’arrive, je pense souvent à ce passage de Science et Santé avec la Clef des Ecritures de Mary Baker Eddy : « La Science Chrétienne ne fait pas exception à la règle générale selon laquelle on n’atteint pas à l’excellence dans un domaine sans y consacrer tous ses efforts.
Si les prénoms n’appartenaient pas à un autre siècle, on aurait presque pu penser à un message posté sur Facebook : « Veillez à accueillir chaleureusement Phœbé ; elle a été si gentille et si généreuse avec tant de personnes. Saluez Prisca et Aquilas, ils ont vraiment pris de gros risques pour moi.
Durant l’été 1906, les scientistes chrétiens furent invités à se réunir pour la consécration de l’extension de L’Eglise Mère. Même les comptes rendus des journaux de l’époque semblent avoir saisi la portée d’un événement qui allait bien au-delà du simple rassemblement de quelque trente à quarante mille scientistes chrétiens venus à Boston assister aux diverses manifestations organisées à cette occasion.
Si tant de gens perdent espoir dans ce que la vie a à leur offrir et choisissent de mettre fin à leurs jours, parfois avec une assistance médicale, cela indique que le genre humain souffre d’une incompréhension fondamentale, souvent tragique, quant au sens véritable de la vie. Si la vie a vraiment commencé par un big bang, qu’importe la complexité de son développement par la suite ? Elle n’est qu’un accident et n’a pour ainsi dire aucun sens.
Il y a bien des années, j’étais au restaurant avec plusieurs personnes de mon église. Tandis que nous échangions nos points de vue sur les divers plats proposés, j’ai vu qu’une personne avait refermé la carte presqu’aussitôt.
Nous souhaitons tous nous savoir en sécurité, où que nous nous trouvions. Or, même si elles sont nécessaires, les mesures de précaution humaines ne nous mettent pas à l’abri de tout danger.