Editoriaux
Nous étions en juillet. Je venais d’avoir six ans.
L’autre jour, en parcourant les grands titres des journaux, je n’ai pas eu de peine à comprendre ce que les gens veulent dire lorsqu’ils évoquent tous les maux du monde. Christ Jésus, lui, parlait de vaincre le monde (voir Jean 16:33).
Celui ou celle qui a découvert une vie plus riche en Christ veut naturellement que d’autres profitent d’un tel bienfait. D’où la question qui revient sans cesse : Quelle est la meilleure façon de progresser dans la connaissance de l’amour de Dieu et de Son pouvoir de guérison ? Dans la « parabole du semeur », Jésus décrit le piètre résultat obtenu quand on sème dans un sol infertile.
« Les chiffres ne mentent pas ! » Nous les utilisons pour quantifier et évaluer à peu près tout, afin de mieux comprendre notre environnement : où nous vivons, la façon dont nous vivons, l’état de notre santé, la sécurité dans le monde, nos accomplissements personnels, ceux de notre Église, etc. « Les chiffres ne mentent pas ! » Ce sont eux qui nous permettent de faire la différence entre les faits objectifs et les affirmations gratuites.
Cela ne semble pas toujours évident de donner des témoignages pertinents lors des réunions du mercredi dans les églises de la Science Chrétienne. J’ai entendu dire, par exemple, que des membres d’église auraient reproché à l’un des leurs de donner des témoignages trop personnels.
Avez-vous déjà été arrêté net par l’arrivée d’un train ? Assis dans votre voiture, vous voyez passer un cortège interminable de wagons. Mais malgré votre impatience, s’il y a une chose dont vous êtes sûr, c’est que ce défilé prendra fin.
Christ Jésus savait pourquoi il était sur terre : pour sauver le monde de l’esclavage du péché, de la maladie et de la mort, en donnant l’exemple d’une existence vécue en accord total avec Dieu. Comme il le déclara : « Je suis venu afin que les brebis aient la vie, et qu’elles soient dans l’abondance.
Je n'avais jamais eu de problème particulier pour me peigner. Mais avec le temps, j'ai eu de plus en plus de mal à lever le bras quand je me coiffais.
Les passionnés de théâtre connaissent bien l'expression « pause de cinq minutes ! » lancée par le metteur en scène lors des répétitions. C'est une invitation à se détendre un moment, avant de reprendre le travail avec des forces renouvelées.
Vous est-il déjà arrivé de rêver que vous vouliez prendre un objet mais que vous en étiez incapable ? Avez-vous jamais rêvé de vouloir vous rendre dans un endroit sans pouvoir y parvenir malgré tous vos efforts ? Peut-être étiez-vous triste au réveil, décontenancé, déçu, au point même d'avoir envie de vous rendormir pour retourner à votre rêve et retenter votre chance. Même si vous vous attardez un peu dans le lit, vous finissez par vous lever, vous effacez ce rêve de votre mémoire et commencez la journée.