Editoriaux
La guérison ! Beaucoup de gens l’ont appelée de leurs vœux, et beaucoup cherchent encore à guérir aujourd’hui. En voyant Christ Jésus, une femme désespérée s’est dit : « Si je puis seulement toucher son vêtement, je serai guérie.
Prier pour une guérison peut s’accompagner de joie et d’espérance. Mais il arrive que cette prière se fasse parfois dans un climat lourd, voire angoissé, parce que nous pensons devoir prier pour contrer une menace.
Grâce au Christ toujours présent, à cette présence et à ce pouvoir bienveillants de Dieu qui nous guident spirituellement, nous apprenons tôt ou tard que les enfants de Dieu sont soutenus et nourris par Lui seul, et que ce Père-Mère tout amour, qui veille avec une infinie tendresse sur chacun de nous, n’est jamais dépourvu de la volonté ni de la capacité de subvenir pleinement à tous nos besoins.
Jusqu’à quel point pensez-vous être scientiste ? Quelles sortes d’expériences avez-vous menées récemment ? Quelles données avez-vous recherchées pour contribuer à résoudre un problème qui a besoin d’une solution ?
On se demande parfois ce qu’on peut faire pour le monde. Eh bien, j’ai lu récemment que « le nombre de personnes contraintes à fuir leur foyer a dépassé les cinquante millions pour la première fois depuis la Seconde Guerre mondiale » ( The Guardian du 19 juin).
La plus grande soif de l’humanité est de nature spirituelle. Qu’il s’agisse d’un désir ardent de paix et de sécurité, d’une aspiration à la liberté, d’un désespoir latent lié au manque d’argent, ou du désir de vivre heureux et en bonne santé, nous sommes bien souvent en quête de quelque chose dont la source ne se trouve pas dans une vision traditionnelle de la vie.
Quand on regarde Casablanca , il est facile de comprendre pourquoi ce film en noir et blanc, qui date de 1942, demeure un classique du cinéma hollywoodien. Les uns après les autres, les principaux personnages découvrent que l’amour désintéressé triomphe de la tyrannie sous toutes ses formes : égoïsme, hédonisme, propre justification, etc.
Dans Niagara: A History of the Falls [Niagara : histoire des chutes], Pierre Berton raconte que Charles Blondin (le funambule dont parle Mary Baker Eddy à la page 199 de Science et Santé avec la Clef des Ecritures) traversa, à de nombreuses reprises, les chutes du Niagara sur une corde raide.
En général, ceux qui s’intéressent à la Science Chrétienne pensent que la façon dont celle-ci explique les vérités bibliques fondamentales représente le plus grand bienfait qu’ils aient jamais reçu : le fait que Dieu est Esprit, qu’Il est entièrement bon et qu’Il est le Créateur d’un univers spirituel exempt de tout péché, exprimant la seule réalité. Ils comprennent qu’au lieu d’être uniquement une belle théorie, la Science Chrétienne peut être démontrée de manière tangible et pratique par la guérison du mal.
« … Mais il y a peu d’ouvriers… » Ces quelques mots prononcés par Jésus me sont restés à l’esprit pendant deux jours. Finalement, je me suis reporté à l’énoncé entier dans l’Evangile selon Luc : « La moisson est grande, mais il y a peu d’ouvriers.