
Editoriaux
Un matin, dans une sorte d’élan maternel, j’ai ressenti le besoin de prier pour le monde en le prenant dans mes bras. Je sentais que l’humanité souffrante réclamait avec urgence une protection et de tendres soins.
A mesure qu’augmentait sa compréhension de la révélation divine, Mary Baker Eddy prit conscience que la découverte de la Vérité divine qui lui avait été révélée par la guérison-Christ ne pourrait se maintenir dans ce monde qu’à condition, précisément, d’accomplir ce genre de guérison. — Yvonne von Fettweiss et Robert Warneck, Mary Baker Eddy : Une vie consacrée à la guérison spirituelle, p.
La guérison ! Beaucoup de gens l’ont appelée de leurs vœux, et beaucoup cherchent encore à guérir aujourd’hui. En voyant Christ Jésus, une femme désespérée s’est dit : « Si je puis seulement toucher son vêtement, je serai guérie.
Prier pour une guérison peut s’accompagner de joie et d’espérance. Mais il arrive que cette prière se fasse parfois dans un climat lourd, voire angoissé, parce que nous pensons devoir prier pour contrer une menace.
Grâce au Christ toujours présent, à cette présence et à ce pouvoir bienveillants de Dieu qui nous guident spirituellement, nous apprenons tôt ou tard que les enfants de Dieu sont soutenus et nourris par Lui seul, et que ce Père-Mère tout amour, qui veille avec une infinie tendresse sur chacun de nous, n’est jamais dépourvu de la volonté ni de la capacité de subvenir pleinement à tous nos besoins.
Jusqu’à quel point pensez-vous être scientiste ? Quelles sortes d’expériences avez-vous menées récemment ? Quelles données avez-vous recherchées pour contribuer à résoudre un problème qui a besoin d’une solution ?
On se demande parfois ce qu’on peut faire pour le monde. Eh bien, j’ai lu récemment que « le nombre de personnes contraintes à fuir leur foyer a dépassé les cinquante millions pour la première fois depuis la Seconde Guerre mondiale » ( The Guardian du 19 juin).
La plus grande soif de l’humanité est de nature spirituelle. Qu’il s’agisse d’un désir ardent de paix et de sécurité, d’une aspiration à la liberté, d’un désespoir latent lié au manque d’argent, ou du désir de vivre heureux et en bonne santé, nous sommes bien souvent en quête de quelque chose dont la source ne se trouve pas dans une vision traditionnelle de la vie.
Quand on regarde Casablanca , il est facile de comprendre pourquoi ce film en noir et blanc, qui date de 1942, demeure un classique du cinéma hollywoodien. Les uns après les autres, les principaux personnages découvrent que l’amour désintéressé triomphe de la tyrannie sous toutes ses formes : égoïsme, hédonisme, propre justification, etc.
Dans Niagara: A History of the Falls [Niagara : histoire des chutes], Pierre Berton raconte que Charles Blondin (le funambule dont parle Mary Baker Eddy à la page 199 de Science et Santé avec la Clef des Ecritures) traversa, à de nombreuses reprises, les chutes du Niagara sur une corde raide.