
Editoriaux
Tant que nous croirons que l’homme est un être matériel, nos désirs ne seront jamais comblés. En comprenant que l’homme est spirituel, nous découvrons que nous avons déjà tout.
Dieu nous donne la capacité de penser et de nous comporter avec la dignité qui permet à Son amour de briller à travers nous, pour rayonner sur les autres et les élever spirituellement.
La loi universelle et divine de l’harmonie s’applique dans tous les domaines de la vie. Nous pouvons tous la comprendre et en voir aussitôt les bienfaits.
L’honnêteté, la douceur et l’amour fraternel sont les qualités irremplaçables d’une véritable vie chrétienne.
Quelle est la vraie origine de l’homme ?
« C’est comme ça que le monde fonctionne. » C’est ainsi qu’on justifie bien souvent les comportements immoraux, voire illégaux. Mais en réalité le monde fonctionne tout autrement.
Tant que l’on croit être personnellement responsable de l’accomplissement d’une chose, on risque parfois – et même souvent – de ne pas se sentir suffisamment prêt. Mais quand on reconnaît que Dieu est la source infinie de toutes les compétences, on est toujours à la hauteur de la tâche.
Les disciples demandèrent un jour à Jésus si c’était à cause de ses péchés ou des péchés de ses parents qu’un homme était aveugle (voir Jean 9). Etait-ce dû à l’hérédité ? La question se pose encore aujourd’hui, mais la réponse demeure la même : Ni l’un ni l’autre ; l’identité est spirituelle.
Quand une personne a besoin de toute notre compassion, sommes-nous parfois tentés de penser qu’elle n’en est pas digne ? L’Amour ne cherche pas à savoir si l’amour est mérité, il aime tout simplement, et d’autant plus que le besoin est grand.
L’un de mes plus anciens souvenirs liés à Noël remonte à l’époque où j’avais une douzaine d’années. Un soir, mes parents étaient sortis pour faire des courses, et c’était un nouveau sentiment pour moi d’être tout seul dans la maison silencieuse, mais ornée de décorations qui m’étaient familières comme les branches vertes toute fraîches sur le manteau de la cheminée ou les bougies allumées aux fenêtres.