Editoriaux
Le monde est sans cesse à la recherche de personnalités hors du commun: quelqu'un à admirer, à élever au rang d’icône et qui donne l’impression de tout avoir. D’ailleurs, le « tout avoir » se résume en une formule qui n’a guère varié au fil des années et qui est communément admise: un mélange de fortune, de pouvoir, de célébrité, de situation avantageuse et de beauté.
Êtes-vous préoccupé par un problème de santé? Ou peut-être par la façon dont une entreprise est dirigée? Ou encore par la manière dont évoluent l'économie ou le système d'aide publique de votre pays? Toutes ces interrogations pourraient-elles se résumer à cette question de fond: Qui gouverne vraiment dans toutes ces situations? Récemment, des collègues de la rédaction et moimême avons discuté avec un groupe de stagiaires, venus de différents horizons pour travailler avec nous pendant la période d'été. Parmi les problèmes qu'ils ont soulevés, il y avait celui-ci: leurs amis et eux-mêmes n'avaient pas le sentiment d'avoir une grande maîtrise de leur avenir.
À l'approche de Noël, des millions de gens tournent de tout leur cœur leur pensée vers le Christ sauveur. Certains feront des crèches, d'autres offriront des cadeaux, assisteront à des services religieux, tâcheront de suivre l'exemple de Jésus avec plus d'ardeur ou prieront tout simplement.
Inutile d'avoir peur. Il est compréhensible que vous éprouviez de la crainte.
En 1822, une jeune Britannique du nom de Charlotte Elliott fit chez des amis la connaissance d'un éminent pasteur suisse. Le révérend Henri César Malan lui demanda si elle était chrétienne.
Selon la troisième loi du mouvement de Newton, chaque force en implique une autre égale, de sens opposé. Mais il arrive parfois que ces forces contraires échappent à tout contrôle.
Et si, contrairement au dicton, ce n'était pas l'argent mais l'intuition spirituelle qui menait le monde? Cela vaut la peine qu'on y réfléchisse. Sans intuition ou idées qui inspirent, guident et conduisent aux décisions justes, nous ne verrions ni ne connaîtrions le bien.
Les scientifiques estiment que des millions de tonnes de détritus finissent chaque année dans les océans, et qu'une grande partie de ces déchets sont pris dans les courants tourbillonnants de ce que l'on appelle la Grande poubelle du Pacifique, qui serait la plus grande décharge du monde. Certains l'estiment à deux fois la taille du Texas, consistant surtout en de petites particules de plastique qui flottent à la surface de l'eau, ou juste en dessous.
Le flot continuel d'informations qui inonde notre existence nous fait sans doute parfois l'effet d'une boîte de Pandore, attirant notre attention sur toutes sortes de causes d'anxiété, sur le plan personnel ou mondial. L'un après l'autre, les reportages mettent l'accent sur notre rôle d'êtres « physiques » dans un environnement surréaliste, et souvent menaçant.
Il semble que les conflits dans le monde ne s'arrêtent jamais. Regardez les violents affrontements sectaires entre les forces de sécurité et les militants dans la ville de Bauchi, au Nigéria.