
Témoignages
Quand j’apprends à mes grands élèves de l’école du dimanche à s’en remettre à Dieu pour trouver le bien dans leur vie, je mentionne le premier chapitre de la Genèse, où il est dit que Dieu est bon et qu’Il a créé l’homme et la femme égaux et totalement bons. Voir la création déjà parfaite, c’est ainsi que Jésus guérissait, comme l’explique Mary Baker Eddy dans Science et Santé avec la Clef des Écritures: « Jésus voyait dans la Science l’homme parfait, qui lui apparaissait là où l’homme mortel pécheur apparaît aux mortels.
D’aussi loin que je me souvienne, je m’étais résignée à souffrir du dos et du cou. Je mettais la Christian Science en pratique depuis des années et j’avais toujours eu des guérisons par la prière, mais je n’avais jamais spécifiquement prié pendant ces accès et j’attendais plutôt qu’ils passent tout seuls.
Au printemps 1996, je passais avec mon mari quelques jours de vacances dans les Alpes suisses. Le temps était magnifique et le spectacle qu’offrait la nature merveilleux.
Depuis que je suis adolescente, j'avais toujours souffert de crampes et d'autres symptômes pénibles pendant mes règles. J'ai prié à ce sujet par intermittence avec quelque résultat, mais j'ai toujours bataillé avec le fait d'être indisponible pendant au minimum une journée, et cela chaque mois.
J'étais pasteur de trois églises protestantes, lorsque j'ai commencé à suivre des émissions du Héraut de la Christian Science à la radio. J'ai écrit à l'adresse de cette émission et on m'a envoyé un Science et Santé avec la Clef des Écritures, que j'ai commencé à étudier.
C'est à une période de ma vie où j'étais très déprimée, tant physiquement que moralement, que je découvris la Christian Science. Nous avions pris la décision, mon mari et moi, de nous installer dans le midi de la France, pour nous rapprocher de mes parents dont j'étais la seule enfant.
La première fois que j'ai ouvert Science et Santé et que j'en ai lu les tout premiers mots: « Pour ceux qui s'appuient sur l'infini, soutien constant, aujourd'hui est riche en bienfaits » (p. vii), mon attention a été aussitôt captée.
Il y a trois ans, j'ai perdu mon mari dans un accident. Je me suis retrouvée seule avec nos quatre enfants âgés alors de dix ans et demi à cinq ans et un domaine agricole comptant trente-cinq vaches laitières, une trentaine de génisses et veaux, ainsi que soixante hectares de prairies.
Il y a environ vingt-cinq ans, j'ai été très malade au point de perdre espoir qu'un jour je guérirais. Une nuit, j'avais été réveillée en sursaut par une forte douleur au niveau du cœur.
Je m’apprêtais à partir pour un voyage d’affaires de deux jours, dans une région rurale de l’Oregon, quand j’ai commencé à avoir mal à une molaire. Bien que gênante, la douleur était supportable, je pensais pouvoir m’en accommoder.