Témoignages
Surveillant Général de l’Hôpital Central de la capitale de mon pays, je travaille dans le domaine médical. Il y a plusieurs mois, j’ai été confronté à une maladie soudaine, qui m’a fortement perturbé.
Il y a dix-huit ans, on m'a diagnostiqué un cancer du vagin. Le gynécologue qui m'a examinée m'a indiqué qu'il me faudrait subir une opération chirurgicale.
Un soir de février 2006, alors que je venais de me coucher, j'ai été assaillie par une difficulté respiratoire: J'avais beau me tourner dans toutes les positions, je ne pouvais pas respirer librement. Cela ne m'était jamais arrivé auparavant.
Il y a quelques années, je me suis abîmé le dos en tombant d'une hauteur d'environ trois mètres. Je pouvais marcher, mais je ressentais une douleur constante dans le bas des reins.
J'avais pris un jour de congé pour aider ma belle-famille à trier divers objets destinés à un vide-grenier qui devait avoir lieu dans le jardin de la maison des parents, avant que celle-ci ne soit vendue. C'était le milieu de l'été, et la maison était restée fermée pendant des mois.
C’est arrivé à un moment où je ne l’attendais pas. Cette fois je me trouvais entre la vie et la mort.
À l’occasion d’une guérison obtenue dernièrement, j’ai mieux pris conscience de ce qu’est la contagion mentale et de la nécessité de la neutraliser tout de suite, grâce aux enseignements de la Science Chrétienne. À la page 196 de Science et Santé avec la Clef des Ècritures, Mary Baker Eddy résume ainsi ce processus: « Les livres qui chasseront la maladie de l’entendement mortel – et qui effaceront ainsi les images et les pensées de maladies, au lieu de les imprimer dans l’entendement par des descriptions frappantes et des détails médicaux – contribueront à faire diminuer la maladie et à la détruire.
Il y a un peu plus d'un an, je me suis mise à cracher du sang. Comme j'avais aussi une violente douleur à la gorge, mon père m'a amenée à l'hôpital, pour savoir ce qu'il en était.
J'ai rencontré la Science Chrétienne alors que je ne voyais plus de raisons d'aller à l'église. J'étais de plus en plus persuadé que Dieu ne répondait pas à mes prières.
Il y a quelque temps, il m'arrivait souvent, le soir, de ressentir des douleurs dans l'appareil digestif. Je m'efforçais alors de vomir, pour faire disparaître la souffrance.