
Témoignages
Durant les jours et les mois qui ont suivi la disparition de mon mari, j’ai eu le sentiment d’être maintenue en sécurité sur le roc du Christ, la Vérité, et que ni la peur, ni le doute ni le découragement ne pouvaient m’ébranler.
Cette guérison m’a beaucoup marquée parce que j’avais vraiment écouté Dieu et eu le sentiment qu’Il me parlait.
Parce que Dieu est infiniment bon, aucune des lois du Principe ne peut produire une quelconque forme de souffrance. Au contraire, toute loi du bien ne produit que l’harmonie.
Nous avons prié pour mieux comprendre que la naissance d’un enfant est en réalité la révélation d’une idée de Dieu, éternelle et spirituelle, qui n’a rien à voir avec les calendriers, les horaires ou les conditions matérielles.
Toutes les idées qui me venaient au sujet du désintéressement m’ont paru être des messages précis de Dieu, et cela m’a fait oublier la gêne que je ressentais dans la bouche.
Le sentiment de honte qui m’avait semblé si incapacitant a perdu son emprise sur moi et je me suis sentie renforcée dans ma pratique de la Science Chrétienne.
J’ai vu clairement que la lumière de l’Amour atteint chaque recoin et chaque individu, y compris ce membre de la famille et moi-même.
Ce n’est pas l’entendement humain, mais l’Entendement divin qui guérit.
La douleur n’est pas réapparue et j’ai passé le reste des fêtes à chanter avec joie des chants de Noël, tout en me sentant proche de ma famille, même s'il y avait des centaines de kilomètres entre nous.
Je n’avais pas peur. J’ai prié et j’ai reconnu que j’étais une avec Dieu, la seule conscience, qui est Tout. J’étais certaine que je n’étais pas séparée de Dieu.