
Témoignages
Je me suis souvenu que Dieu dressait une table devant moi face à ces craintes et, à cet instant, il m’a semblé parfaitement clair que ma vie ne dépendait pas d’un cœur.
Durant le service, j’avais retrouvé mes facultés mentales et la maîtrise de la parole.
Toutes les idées qui me venaient au sujet du désintéressement m’ont paru être des messages précis de Dieu, et cela m’a fait oublier la gêne que je ressentais dans la bouche.
Une fois que la base spirituelle de l’existence de l’homme a été établie dans ma pensée, nous avons dénoncé et rejeté tout ce qui n’était pas spirituel, comme la corporalité et l’impureté, car rien d’autre que le bien ne peut faire partie de l’image et de la ressemblance de Dieu.
Tant la gêne que la claudication ont instantanément disparu. J’ai pu immédiatement me tenir droit et marcher sans douleur.
Dans son Sermon sur la montagne, Christ Jésus dit qu’il faut avoir un œil en bon état, ce que j’interprète comme signifiant que nous devons remplir notre pensée de ce qui est vrai et refuser ce qui est faux.
Dans mon étude de la Science Chrétienne, j’avais appris que « la matière n’est rien », mais je n’avais jamais considéré que « rien n’est matière ».
L’Esprit m’a créée, je suis donc spirituelle, et non une mortelle vulnérable composée d’éléments matériels qui peuvent être abîmés ou détériorés. Ma véritable identité est intacte, complète et parfaite.
La vie, la vérité, l’intelligence et la substance sont uniquement en Dieu. Ces pensées m’ont conduit à la conclusion suivante : « Ne considère pas la matière comme ton dieu ».
La persévérance, conjuguée aux prières quotidiennes encourageantes de la praticienne, a spiritualisé mes pensées et m’a libérée. L’immobilité et la douleur ont disparu pour ne plus jamais revenir.