
Témoignages
Je me suis rendu compte que même face à un problème difficile à résoudre, il est toujours possible de percer la brume de l’erreur et de laisser la difficulté se dissoudre dans le néant.
Soulagée à l’idée que ma sœur puisse recevoir de l’aide, ma mère a accepté d’appeler un praticien de la Science Chrétienne. Le lendemain matin, mes parents ont été réveillés par les appels de ma sœur. Elle avait recouvré la vue !
Comme il est réconfortant de se réveiller après avoir fait un rêve terrifiant dont on essayait de sortir ! C’est bien ce qui m’est arrivé : je me suis « réveillée » à ce qu’était la vérité à mon sujet, et j’ai été guérie.
La joie et la gratitude immenses que j’ai éprouvées, je les dois en grande partie à la salle de lecture de la Science Chrétienne où j’ai trouvé l’inspiration et la guérison.
Durant les jours et les mois qui ont suivi la disparition de mon mari, j’ai eu le sentiment d’être maintenue en sécurité sur le roc du Christ, la Vérité, et que ni la peur, ni le doute ni le découragement ne pouvaient m’ébranler.
Parce que Dieu est infiniment bon, aucune des lois du Principe ne peut produire une quelconque forme de souffrance. Au contraire, toute loi du bien ne produit que l’harmonie.
Je savais que ce Principe, l’Amour, était la source de ma vie et la force à l’œuvre dans ma vie, ainsi que dans toute vie. Je ne pouvais que gagner en compréhension et en démonstration de la réalité spirituelle, tout comme les disciples de Jésus.
Cette guérison m’a beaucoup marquée parce que j’avais vraiment écouté Dieu et eu le sentiment qu’Il me parlait.
Nous avons prié pour mieux comprendre que la naissance d’un enfant est en réalité la révélation d’une idée de Dieu, éternelle et spirituelle, qui n’a rien à voir avec les calendriers, les horaires ou les conditions matérielles.
Toutes les idées qui me venaient au sujet du désintéressement m’ont paru être des messages précis de Dieu, et cela m’a fait oublier la gêne que je ressentais dans la bouche.