
Témoignages
Depuis la première guérison de ma fille cadette, je suis très reconnaissante de n’avoir plus jamais ressenti de peur intense pour la santé et la sécurité de mes filles.
J’ai réfléchi à la notion de « crainte humaine », et j’ai réalisé que ce qui m’arrivait semblait être le produit de la peur. J’ai donc quitté la mer agitée de la crainte. Elle n’avait jamais été la vérité de mon être, et je l’ai traversée dans l’attente de la « joie promise. »
Je savais que ma paix et mon autorité venaient directement de Dieu, l’unique Entendement et la source de toute vie et de toute intelligence. On ne pouvait ni les ébranler ni me les enlever.
Je me suis souvenu que Dieu dressait une table devant moi face à ces craintes et, à cet instant, il m’a semblé parfaitement clair que ma vie ne dépendait pas d’un cœur.
Il existe une autorité divine, l’autorité de Dieu, qui me permet d’exprimer la force de manière très concrète. Cette expression n’est pas entravée.
Durant le service, j’avais retrouvé mes facultés mentales et la maîtrise de la parole.
Tant la gêne que la claudication ont instantanément disparu. J’ai pu immédiatement me tenir droit et marcher sans douleur.
Toutes les idées qui me venaient au sujet du désintéressement m’ont paru être des messages précis de Dieu, et cela m’a fait oublier la gêne que je ressentais dans la bouche.
Une fois que la base spirituelle de l’existence de l’homme a été établie dans ma pensée, nous avons dénoncé et rejeté tout ce qui n’était pas spirituel, comme la corporalité et l’impureté, car rien d’autre que le bien ne peut faire partie de l’image et de la ressemblance de Dieu.
Dans son Sermon sur la montagne, Christ Jésus dit qu’il faut avoir un œil en bon état, ce que j’interprète comme signifiant que nous devons remplir notre pensée de ce qui est vrai et refuser ce qui est faux.