Un message concernant la per capita tax

Chers amis membres de L’Eglise Mère,

Deux carnets reliés en tissu, posés sur mon bureau, revêtent une grande importance à mes yeux. Ils ont appartenu à ma grand-mère et ils sont remplis de témoignages de gratitude qu’elle a écrits de sa main. Le premier est daté du 1^er avril 1931, quelques années après qu’elle a connu la Science Chrétienne au Japon. Elle y écrit : « Depuis que je connais la Science Chrétienne, j’ai été comblée d’innombrables bienfaits. Si je dois en reconnaître un plus particulièrement, je pense à un sentiment de gratitude comme je n’en ai jamais connu auparavant... La Science Chrétienne est tout pour moi... » Elle reconnaît que ses deux fils ne passent plus de temps à l’hôpital durant les mois d’hiver, que ses amis ont remarqué que ses inquiétudes ont fait place à la joie, que ses craintes concernant l’état de ses finances et de sa sécurité se sont dissipées. Dans le second carnet, elle écrit qu’elle a traversé les années de guerre et éprouvé « un immense enthousiasme, le sentiment [qu’elle ne dirait] plus jamais que quelque chose est impossible à la pensée armée du pouvoir scientifique [la Science Chrétienne]... »

Cette gratitude qui déborde de chaque page est un témoignage du pouvoir de guérison du Christ qui lui a permis de surmonter les obstacles des croyances panthéistes et de la langue, de survivre sous les bombardements de Tokyo et d’accéder à une santé, une paix et une joie durables. Le Christ est le fondement de notre Eglise, établie par Mary Baker Eddy et « destinée à être bâtie sur le Roc, Christ, voire sur la compréhension et la démonstration de la Vérité, de la Vie et de l’Amour divins, qui guérissent et sauvent le monde du péché et de la mort, pour refléter ainsi, dans une certaine mesure, l’Eglise Universelle et Triomphante » (Mary Baker Eddy, Manuel de L’Eglise Mère, p. 19).