Au vu des bulletins d’information actuels et du maintien de certaines restrictions liées à la pandémie, il paraît difficile de trouver des motifs de réjouissance. Mais lorsque, récemment, j’ai dû surmonter un état dépressif, je me suis souvenue d’une guérison que j’ai eue il y a plusieurs années, qui m’avait libérée physiquement et m’avait apporté une joie infinie.
J’avais déménagé à la suite d’un divorce. Un soir, alors que je finissais d’enlever une moquette usagée, je me suis déchiré le doigt ; c’était très douloureux. Le doigt a enflé et je pouvais à peine le bouger. La Leçon biblique indiquée dans le Livret trimestriel de la Science Chrétienne, cette semaine-là, avait pour sujet : « L’homme ». Cette pensée m’est venue : « Tu as lu que l’homme a été créé à l’image et à la ressemblance de Dieu durant toute la semaine ; à présent, tu dois mettre en pratique ce que tu as lu. » J’ai alors affirmé que, puisque rien ne pouvait blesser Dieu, rien ne pouvait blesser Son reflet, en l’occurrence moi, aussi n’avais-je pas à me comporter comme si j’avais été blessée ! Je me suis fabriqué une attelle de fortune pour maintenir le doigt en place, puis j’ai rangé et je suis allée me coucher.
Une guérison que j’ai eue m’a libérée physiquement et m’a apporté une joie infinie.
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