J’exprime ma gratitude non seulement pour une guérison rapide mais aussi pour la disponibilité des praticiens de la Science Chrétienne qui, avec amour, consacrent leur temps et leurs prières à la guérison par la Science Chrétienne à toute heure du jour et de la nuit.
Un soir, je montais un cheval que j’avais acheté récemment et j’essayais d’établir une communication et un contrôle en le faisant passer par-dessus une série de poteaux en bois posés sur le sol. Nous ne nous connaissions pas très bien et nous n’avions pas encore établi une relation de confiance. Le cheval ne voulait pas franchir les poteaux avec moi en selle, je suis donc descendue de cheval et à l’aide d’une longe d’environ deux mètres, je l’ai guidé vers les poteaux en le faisant tourner autour de moi. Cela m’a permis de me rapprocher de lui, à ce moment-là j’étais à la fois pressée et impatiente d’arriver à un résultat.
A un moment donné, alors qu’il prenait de la vitesse sur le parcours, je ne me suis pas rendu compte que j’étais proche de son arrière-train et soudain, sans prévenir, le cheval m’a donné un coup dans l’estomac avec sa patte arrière. Je me suis écroulée de douleur. C’était un sacré choc.
Je me suis calmée en sachant qu’une idée de Dieu ne pouvait pas nuire à une autre idée de Dieu. Mary Baker Eddy écrit dans Science et Santé avec la Clef des Ecritures : « Toutes les créatures de Dieu, se mouvant dans l’harmonie de la Science, sont inoffensives, utiles, indestructibles. » (p. 514)
J’ai mis le cheval dans son box et j’ai appelé un praticien de la Science Chrétienne pour qu’il m’aide par la prière. Je suis tellement reconnaissante que le praticien ait été là pour prendre mon appel, même s’il était 19h30. Il m’a assuré que ma perfection spirituelle en tant qu’expression de Dieu était intacte et que tout allait bien, car rien ne pouvait altérer mon statut d’enfant bien aimée de Dieu. Il m’a aussi encouragée à pardonner à mon cheval.
Pardonner à mon cheval était facile à faire. Il était plus difficile de me pardonner une erreur qu’en tant que cavalière, je n’aurais pas dû faire. J’ai dû me pardonner de penser qu’une erreur était possible et qu’elle pouvait avoir des conséquences désastreuses.
L’idée de Dieu, l’homme (la véritable identité de chacun d’entre nous), peut-elle jamais être séparée de son créateur, quelles que soient les circonstances ? Ma réponse à cette question a été un « non » retentissant ! La totalité de Dieu, le bien, exclut tout ce qui est différent du bien, et puisque toutes les créatures, y compris moi-même, « se meuv[ent] dans l’harmonie de la Science », le cheval et moi-même n’étions gouvernés que par la loi de Dieu, la loi de l’Amour divin. Par conséquent, il ne pouvait y avoir de faute, d’accident ou de blessure dans le royaume de l’Ame, Dieu. Dans Science et Santé, nous lisons : « Calme au milieu du témoignage discordant des sens matériels, la Science, toujours souveraine, révèle aux mortels le Principe divin, immuable et harmonieux – elle révèle la Vie et l’univers, toujours présents et éternels. » (p. 306)
La crainte que je possède un corps matériel avec des organes qui pourraient être endommagés ou pourraient me nuire s’est dissipée, et la prise de conscience qu’en Dieu : « nous avons la vie, le mouvement et l’être » (Actes 17:28) a envahi ma pensée.
Le temps de rentrer chez moi, j’étais libérée de toute douleur. Il n’y a eu aucune complication, et la grande ecchymose qui était apparue sur mon corps a disparu en quelques semaines. Cette guérison a eu lieu il y a plusieurs années et elle a été totale.
Pouvoir appeler un praticien en cas d’urgence n’est pas seulement réconfortant ; cela apporte beaucoup de gratitude pour le dévouement dont tous font preuve à la cause de la Science Chrétienne.
Lori Kleski
Kent, Ohio,
Etats-Unis