Il y a quelques mois, j’ai ressenti les symptômes de la grippe, et une profonde dépression a accompagné le malaise physique. Apparemment, les symptômes de dépression ne sont pas inhabituels lorsqu’une personne attrape la grippe. Dans un premier temps, j’ai essayé de déclarer certaines vérités de la Science Chrétienne, mais je me suis rendu compte que je ne pouvais en énoncer aucune, même mentalement, et encore moins à haute voix. C’était comme si je me tapais la tête contre le mur.
Ensuite, j’ai tenté d’être reconnaissante, en commençant avec les choses les plus simples, comme la beauté de l’herbe et la chaleur du soleil. Cela semblait être au-dessus de mes forces, mais je commençais à percevoir une petite étincelle d’espoir. Je me suis assise dans mon lit et j’ai demandé à Dieu de me montrer ce que j’avais besoin de comprendre. Mes yeux sont tombés sur la copie d’un article posé sur ma table de nuit, qui a pour titre : « Juguler le magnétisme animal dans l’œuvre de guérison » de E. Vera Gorringe Plimmer (Le Héraut de la Science Chrétienne, août 1970, paru à l’origine dans le Christian Science Journal, octobre 1969).
C’est à ce moment-là que je me suis réveillée. J’ai discerné alors que ce qui m’effrayait, c’était seulement le magnétisme animal, la croyance en un pouvoir en dehors de Dieu, et non la réalité de l'être. L’auteure, une praticienne de la Science Chrétienne, explique dans l’article la nécessité de reconnaître, par la prière et le traitement en Science Chrétienne, que tout ce qui est contraire à Dieu n’est que le néant. Et elle raconte ce qu’elle a fait alors qu’elle priait pour un patient qui n’était toujours pas guéri.
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