On lit dans les Saintes Ecritures : « L’affection de la chair, c’est la mort, tandis que l’affection de l’esprit, c’est la vie et la paix. » (Romains 8:6) Cette double affirmation est particulièrement pertinente pour chacun d’entre nous, et cela peut se vérifier dans les moments difficiles de notre existence, comme dans les moments heureux. Cela a été prouvé dans ma famille, lorsque j’attendais un enfant.
Au moment de l’accouchement, la sage-femme m’a dit que la naissance devrait se faire par césarienne, dans un hôpital. Respectueux des lois de notre pays, mon mari et moi sommes allés à l’hôpital. Toutefois, en m’appuyant sur l’autorité de la loi divine, j’ai refusé en moi-même le point de vue médical, et j’ai prié avec ferveur, en affirmant que les enfants de Dieu, y compris ce bébé et moi-même, dépendaient constamment de la juridiction des lois divines de la Vie, de la Vérité et de l’Amour. Et quand nous sommes arrivés à l’hôpital, j’ai accouché naturellement, sans césarienne.
Après la naissance, on nous a dit que le bébé étant né deux semaines avant terme, il fallait lui faire des examens pour contrôler si tout allait bien. Une radio a révélé qu’un de ses poumons contenait du liquide. Il devait subir immédiatement un traitement médical, mais rien ne garantissait que cela lui sauverait la vie. Nous avons souhaité disposer d’un petit moment pour prier, et on nous a accordé un quart d’heure. Puis une nouvelle radio a montré qu’il n’y avait plus de liquide dans le poumon. Notre enfant était guéri.
Connectez-vous pour accéder à cette page
Pour avoir le plein accès aux contenus du Héraut, activez le compte personnel qui est associé à tout abonnement au Héraut papier ou abonnez-vous à JSH-Online dès aujourd’hui !