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« La vie et la paix » grâce au Christ

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de novembre 2017

Paru d'abord sur notre site le 24 août 2017.


On lit dans les Saintes Ecritures : « L’affection de la chair, c’est la mort, tandis que l’affection de l’esprit, c’est la vie et la paix. » (Romains 8:6) Cette double affirmation est particulièrement pertinente pour chacun d’entre nous, et cela peut se vérifier dans les moments difficiles de notre existence, comme dans les moments heureux. Cela a été prouvé dans ma famille, lorsque j’attendais un enfant.

Au moment de l’accouchement, la sage-femme m’a dit que la naissance devrait se faire par césarienne, dans un hôpital. Respectueux des lois de notre pays, mon mari et moi sommes allés à l’hôpital. Toutefois, en m’appuyant sur l’autorité de la loi divine, j’ai refusé en moi-même le point de vue médical, et j’ai prié avec ferveur, en affirmant que les enfants de Dieu, y compris ce bébé et moi-même, dépendaient constamment de la juridiction des lois divines de la Vie, de la Vérité et de l’Amour. Et quand nous sommes arrivés à l’hôpital, j’ai accouché naturellement, sans césarienne.

Après la naissance, on nous a dit que le bébé étant né deux semaines avant terme, il fallait lui faire des examens pour contrôler si tout allait bien. Une radio a révélé qu’un de ses poumons contenait du liquide. Il devait subir immédiatement un traitement médical, mais rien ne garantissait que cela lui sauverait la vie. Nous avons souhaité disposer d’un petit moment pour prier, et on nous a accordé un quart d’heure. Puis une nouvelle radio a montré qu’il n’y avait plus de liquide dans le poumon. Notre enfant était guéri.

Que s’était-il passé ? En réalité, tout avait commencé avant l’arrivée de notre fils. Durant toute la grossesse, je m’étais efforcée de spiritualiser mes pensées [« l’affection de l’esprit »]. J’avais affirmé que les enfants de Dieu ne sont pas matériels, mais spirituels. Nous sommes composés des qualités de Dieu, non d’éléments corporels.

A l’hôpital, j’ai maintenu dans mes pensées l’identité spirituelle de l’homme. J’ai refusé d’accepter qu’une croyance contraire à la vérité de Dieu concernant Sa création puisse être projetée sur l’enfant et l’affecter, même si les croyances matérielles sont considérées à tort comme des « lois ». Je me suis fondée sur l’autorité des lois de Dieu. Mary Baker Eddy, la découvreuse de la Science Chrétienne, explique : « L’homme a une individualité perpétuelle ; et les lois de Dieu, ainsi que leur action intelligente et harmonieuse, constituent son individualité dans la Science de l’Ame. » (Non et Oui, p. 11) 

C’est cette « individualité perpétuelle » de l’homme que j’ai chérie, l’identité véritable de cet enfant. L’intégrité, la sainteté, la vitalité, la force et l’harmonie, toutes ces qualités et bien d’autres ont constitué une réfutation directe du problème suggéré par la radiographie. Les qualités de Dieu, qui ont une substance spirituelle et sont établies de façon immuable par Ses lois, se substituent naturellement à la croyance selon laquelle des caractéristiques ou des états dépourvus de substance et prétendument dangereux, associés à la matière, font partie de notre identité spirituelle véritable. Le désir de mieux comprendre la réalité spirituelle, ainsi que la confiance en cette réalité, constituent la prière chrétienne scientifique. Et c’est ce qui a guéri notre enfant.

L’identité spirituelle de l’homme nous est révélée par le Christ ; elle exprime la nature bénie de Dieu, comme l’a enseigné et illustré Christ Jésus dans sa vie quotidienne et son ministère de guérison. Ce Christ guérit l’humanité aujourd’hui comme autrefois, en corrigeant la fausse conception charnelle de l’homme, liée à « l’affection de la chair », avec la vérité concernant ce que nous sommes réellement.

A chaque guérison due au Christ, nous faisons l’expérience de l’amour et de la sollicitude de Dieu envers Ses enfants, et nous en sommes bénis. D’autres sont également bénis quand ils voient les signes de « la bonne nouvelle » dans notre vie, car si nous pouvons être guéris et connaître l’amour et la protection de Dieu, ils le peuvent aussi. En suivant notre Maître, Christ Jésus, nous pouvons tous prouver que nous avons hérité de Dieu « la vie et la paix » liées à « l’affection de l’esprit ». Soyons-en reconnaissants. Je le suis assurément, et je rends grâce à Dieu !

Kathleen Markwood
St. Petersburg, Floride, Etats-Unis

Paru d'abord sur notre site le 24 août 2017.

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