Alors que j’approchais de la quarantaine, ma mère et ma belle-mère, deux êtres que je chérissais, sont décédées à quelques jours d’intervalle. J’étais accablée par le chagrin et j’avais le sentiment d’être enveloppée d’un voile sombre. Je me sentais orpheline, privée de l’amour inconditionnel dont ces deux femmes m’avaient entourée.
Cependant, j’aime la Bible qui nous met au défi d’aller au-delà du sens humain des choses pour avoir foi en Dieu et dans le rôle qu’Il joue dans notre vie, c’est-à-dire de comprendre que Dieu est l’origine de tout bien. La Bible m’a aussi appris que cette bonté divine, c’est ce qui est vrai dans notre existence, et qu’il est normal d’être heureux et en bonne santé.
Le Psalmiste fait allusion à la façon dont la compréhension de ce fait peut surmonter un sentiment de désespoir. « Pourquoi t'abats-tu, mon âme, et gémis-tu au dedans de moi ? » demande-t-il. Puis il nous conseille et nous rassure ainsi : « Espère en Dieu, car je le louerai encore ; il est mon salut et mon Dieu. » (psaume 42:11) J’ai prié et étudié d’autres passages bibliques, cherchant à mieux comprendre comment la bonté de Dieu peut être une présence salvatrice. Est-ce que cette présence remplacerait mes ténèbres mentales par le réconfort et la joie ?
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