Dans le chapitre « Pratique de la Science Chrétienne » de Science et Santé avec la Clef des Écritures, Mary Baker Eddy évoque une figure qu'elle considère comme un modèle pour quiconque veut accomplir des guérisons en Science Chrétienne: « Il est relaté dans le septième chapitre de l'Évangile selon saint Luc que Jésus fut un jour le convive honoré d'un certain pharisien, nommé Simon, qui n'avait d'ailleurs rien de commun avec Simon le disciple. Pendant le repas un incident insolite se produisit, comme pour interrompre cette fête orientale. Une "étrangère" entra. [...] cette femme (Marie-Madeleine, ainsi qu'on l'a nommée depuis) s'approcha de Jésus. [...] Elle portait un vase d'albâtre contenant de l'huile odoriférante d'un grand prix — peut-être de l'huile de santal dont l'usage est si répandu en Orient. Ayant brisé le cachet du vase, elle répandit cette huile parfumée sur les pieds de Jésus...» (p. 362-363)
Cette femme, plutôt que Jésus, serait-elle l'exemple à suivre ? La façon dont notre Maître démontrait la perfection ne devrait-elle pas servir de modèle à tous les guérisseurs chrétiens ? Après tout, cette femme (qui, selon la plupart des exégètes contemporains, n'était pas Marie-Madeleine) était une pécheresse. Mary Baker Eddy donne cette explication:
« Les Scientistes Chrétiens recherchent-ils la Vérité de la façon dont Simon recherchait le Sauveur, par conservatisme matériel et en vue d'un hommage personnel ? [...]
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