«L'église de la Science Chrétienne est ouverte à tous ceux qui cherchent... Quand j'y suis arrivée en 2007, c'était mon cas. J'ai trouvé les participants toujours ouverts et amicaux. J'ai ressenti la force de leur prière et leur amour pour Dieu, et cela m'a alors réconfortée. Je me suis sentie en sécurité dans un cercle d'Amour... Grâce au soutien de l'église, j'ai trouvé la guérison d'un problème de la thyroïde (voir mon témoignage dans le Héraut de juin 2009) et ma propre force intérieure, une force ignorée jusque-là. Je suis devenue membre de l'église de Toulouse, puis membre de L'Église Mère.
C'est passionnant de participer à la croissance de notre église, à sa vitalité et à son dynamisme. Elle est suffisamment petite pour que tous se connaissent, et pour que chaque nouveau venu ait sa place. C'est pourquoi j'ai amené des amis et des parents à nos services, pour qu'ils en bénéficient. »
« Mon investissement dans la création de notre église a été pour moi l'occasion d'une croissance que j'étais loin d'imaginer. Ma participation à ses activités m'a permis de me dépasser et de développer une certaine humilité. Les réunions métaphysiques sont vraiment un partage. Chacun apporte sa réflexion, sa recherche, c'est un véritable repas spirituel, copieux et nourrissant.
L'évolution de notre groupe à travers ces années a été magnifique. Actuellement, l'Église, en tant qu'idée spirituelle, représente pour moi mon « port d'attache ». Elle est mon phare: si je m'égare, elle me ramène sûrement au port.»
« L'église est pour moi une famille unie dans un désir commun de mieux connaître Dieu et de mieux nous connaître nous-mêmes chaque jour. Nous avons une « langue » commune, celle de l'Amour. C'est un lieu où l'on exprime sa reconnaissance. Les réunions de témoignage permettent de partager ses bienfaits et d'être béni en retour: souvent, une guérison peut survenir après avoir entendu le récit de la guérison de quelqu'un d'autre.
Trouver une église filiale de la Science Chrétienne en arrivant avec ma famille dans un pays étranger m'a fait vraiment voir que j'appartiens à un mouvement mondial. [Samantha est arrivée à Toulouse en novembre 2008. Elle venait des États-Unis, avec ses deux fils et son mari, qui a un contrat dans une entreprise internationale.]
J'aime participer aux activités de l'église. Bien que je ne sois pas membre, je suis heureuse de pouvoir aider quand un besoin se présente. Mon espoir est de faire briller ma lumière pour cette ville de Toulouse. J'apprécie particulièrement la prière silencieuse, pendant laquelle nous prions pour tous ceux qui sont présents. C'est merveilleux de voir chaque membre comme la manifestation de Dieu, comme témoin du Christ, la Vérité. »
« J'aime notre église, car j'y trouve une grande unanimité dans le désir d'avancer, de faire connaître la Science Chrétienne autour de nous. Pour prendre des décisions, même si au départ nous ne sommes pas tous d'accord, cela fonctionne, car il y a réellement de l'amour et du respect entre les membres. Je ne ressens ici ni jugement, ni condamnation, ni comparaison, chacun apporte le meilleur de lui-même.
J'aime aussi le fait de travailler et d'avoir des projets ensemble sans que la question « argent » soit un obstacle. Bien que notre société ne soit pas riche, ayant d'abord à cœur de réaliser nos idées, nous discutons en premier des projets et ensuite seulement nous parlons de la façon de les financer. Notre église est enthousiasmante. »
« Fin 2006, lors d'une période d'intense trauma dans ma vie, et en l'absence d'un quelconque soutien susceptible de me réconforter, une amie proche m'a invitée à l'accompagner un dimanche à un service de la Science Chrétienne à Toulouse.
Malgré ma compréhension limitée de la langue française, et malgré le tourment émotionnel dans lequel je me débattais, j'ai su aussitôt que je me trouvais devant quelque chose d'unique. C'était comme recevoir une boisson rafraîchissante pour apaiser une soif intense. Le sentiment de réconfort glané lors de la lecture effaçait toute différence culturelle ou toute barrière linguistique et m'a porté secours à un moment où j'en avais le plus besoin, ce dont je suis infiniment reconnaissante.
Les deux heures de route, chaque dimanche pour venir au service, ne me coûtent guère, car elles me fournissent mon "pain quotidien". Assister aux services de l'église m'a guérie d'allergies saisonnières, de l'habitude de boire en société et d'une multitude d'autres maux mineurs. Mes relations avec les membres de ma famille se sont nettement améliorées et le chagrin que j'avais de la perte d'êtres chers a été apaisé et surmonté. »
« Quand je suis arrivée à Toulouse, je ne savais pas un mot de français, ce qui ajoutait un défi supplémentaire à notre installation dans un nouveau pays ! [Barbara Allen, et son mari Richard, sont originaires du Canada anglophone] Ma participation aux assemblées de l'église n'est pas très aisée, mais j'aime enseigner à l'école du dimanche en anglais, quand c'est nécessaire, et je suis maintenant à même de préparer la vitrine de la salle de lecture, de temps à autre. La patience et l'amitié des autres membres ici me sont extrêmement précieuses. »
« C'était vraiment bien de découvrir qu'il existait une société de la Science Chrétienne à Toulouse lorsque nous avons été transférés ici. Nous avons trouvé un accueil chaleureux dans la famille que constitue l'église, et nous nous sommes bien habitués aux services religieux en français. Quand il s'agit comme ici d'une église "start-up", il y a toujours quelque chose qu'on peut faire pour aider. Quand tout le monde se sent encouragé à participer, cela aide l'église à grandir et à être active dans la localité. »