Mais, peu de temps après avoir rejoint deux équipes sportives pour pratiquer ces disciplines, je me suis sentie frustrée, car les gens faisaient preuve de sexisme et de favoritisme, ce qui nuisait aux chances de succès des athlètes féminines. J'étais très en colère chaque fois que j'avais l'impression de déceler une certaine partialité en faveur des équipes masculines. En outre, j'étais ennuyée de voir les athlètes masculins obtenir souvent des bourses d'études, alors que cela était loin d'être aussi aisé pour les femmes. J'ai fait part avec franchise de ces points de vue à mon entraîneur et à mes amis. Cette attitude a eu pour résultat une certaine défiance à mon égard de la part de mon équipe.
Chaque fois que je pensais à ce problème, le ressentiment suscité par cette injustice augmentait ma contrariété. À cette époque, je partageais une chambre en colocation avec une autre fille, près de mon école. Elle travaillait dans l'informatique, et je savais également qu'elle était scientiste chrétienne. Désireuse de m'aider, elle me dit que je n'avais pas besoin d'éprouver des sentiments négatifs. Au contraire, elle m'expliqua qu'il était possible de mieux connaître ma relation à Dieu, et que cette connaissance m'apporterait réconfort et guérison.
Cette amie m'a offert un livre. C'était Science et Santé avec la Clef des Écritures de Mary Baker Eddy. En lisant ce livre, j'ai commencé à trouver des réponses à toutes les questions que je me posais sur la spiritualité. L'idée qui m'a le plus marquée est que Dieu est bon et que le mal n'a aucun pouvoir. Après avoir lu ce livre pendant environ trois mois, j'ai assisté à un service du dimanche dans une Société de la Science Chrétienne, en compagnie de cette même amie.
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