En juillet de l'année 1999, au petit matin du jour de l'inhumation de ma mère, j'ai subitement perdu conscience, et ce après avoir éprouvé de vives douleurs au niveau du ventre, puis à la poitrine.
Au moment où je m'écroulais, l'une de mes sœurs, qui était non loin de l'endroit où je me trouvais et à qui je m'étais confié quelques instants seulement avant, a fait appel à des proches qui m'ont porté et étendu sur une natte, complètement évanoui.
Comme on peut l'imaginer, c'était un deuil dans le deuil. Chacun faisait son commentaire. Un doigt accusateur fut rapidement porté sur la sorcellerie, une croyance bien ancrée dans nos pays africains.
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