Depuis plusieurs mois je souffrais de fortes douleures abdominales. Elles m'empêchaient de dormir la nuit et rendaient très pénibles les tâches journalières. Seul mon mari était au courant, et même lui ne connaissait pas la gravité du problème.
Chaque jour je priais et j'étudiais pour mieux comprendre Dieu. Les paroles d'un psaume illustrent quel était mon état d'esprit: « Le jour, l'Éternel m'accordait sa grâce; la nuit, je chantais ses louanges, j'adressais une prière au Dieu de ma vie. » (Ps. 42:9)
Je n'avais pas peur, mais je m'apercevais parfois que j'étais en train d'essayer d'analyser ce qui n'allait pas, ou de réfléchir aux aliments que je devrais éviter. En de tels moments, je m'attachais aux idées figurant dans Unité du bien de Mary Baker Eddy, au chapitre intitulé « Un colloque ». Ce chapitre devint pour moi comme un ami très cher, une source de direvtives et de réconfort. Alors quand la nourriture semblait aggraver le problème, je m'efforçais de me conformer à ce que le bien dit dans ce chapitre: « Tu n'admettras pas que l'erreur soit quelque chose à connaître ou qui puisse être connu, à manger ou qui puisse être mangé, à voir ou qui puisse être vu, à ressentir ou qui puisse être ressenti. » (p. 22)
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