Je ne souhaite à personne d'être une victime ! Et je ne veux pas en être une moi-même ! Ce sujet me tient profondément à cœur, et cela remonte au temps où mon mari et moi avions un magasin d'équipement de tennis.
Nous avions amassé à grand-peine tout l'argent que nous avions pu trouver et nous avions juste assez pour commencer. Chaque marchandise représentait un sacrifice financier.
Le jour de l'ouverture, tout était calme, jusqu'à la sortie des cours d'une école voisine. Une quinzaine de jeunes garçons est alors entrée. A ce moment-là, je les ai pris pour de futurs clients venus découvrir un nouveau magasin de sports. Je me suis mise à bavarder avec eux et ai répondu à leurs questions. Ils étaient si nombreux qu'ils remplissaient la boutique. Ce n'est qu'après leur départ que je me suis aperçue de la disparition d'une importante quantité d'articles. Les garçons les avaient volés !
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