A un moment donné, mon pied s’infecta gravement. En priant à ce sujet, je trouvai ce passage de l’Apocalypse qui me fut d’une grande aide: «Il n’y entrera rien de souillé, ni personne qui se livre à l’abomination et au mensonge.» (21:27, version synodale) Il me fit comprendre que mon identité ne saurait être envahie par un mensonge appelé infection. Je suis une idée spirituelle – à la ressemblance de Dieu. Je ne suis pas matérielle. Dieu est le seul pouvoir, par conséquent la douleur et l’infection n’ont aucun pouvoir.
Cependant, lorsque l’inflammation s’étendit à la jambe, je fus prise de peur. J’ai alors demandé à une praticienne de la Science Chrétienne de me traiter par la prière. Cette dernière m’engagea à cesser de penser au tableau matériel inquiétant pour me rappeler que ma véritable identité, le reflet de Dieu, est spirituelle, parfaite, harmonieuse et libre de toute douleur.
Le lendemain, la praticienne vint me rendre visite. Elle m’expliqua que ma perfection était immuable et attira mon attention sur le passage suivant tiré de Science et Santé: « Une idée spirituelle ne renferme pas un seul élément d’erreur, et cette vérité enlève convenablement tout ce qui est nuisible. » (p. 463) Cela m’aida énormément à cesser de vérifier l’état de mon pied, et me garda l’esprit concentré sur la perfection et la liberté spirituelles.
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