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J'ai Sauté de la balançoire et...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de juillet 1996


J'ai Sauté de la balançoire et je me suis fait mal au bras. On m'a allongé dans le bureau de l'infirmière de l'école.

Je suis rentré à la maison. Nous avons pensé de bonnes pensées, et je me suis endormi. Quand je me suis réveillé le lendemain matin, mon bras allait mieux. Je suis retourné à l'école trois jours après.

Je suis tombé dans la cour de récréation, et je me suis encore fait mal au bras. J'ai dû aller voir le docteur, mais mon bras allait déjà très bien. Dieu en a pris soin pendant que je dormais et quand je me suis réveillé, j'étais déjà guéri.

J'ai parlé avec un praticien de la Science Chrétienne, qui m'a dit plein de bonnes choses sur Dieu.

Je suis très reconnaissant.

Un vendredi, j'ai reçu un coup de téléphone de l'école privée que fréquente mon fils aîné. On m'a annoncé que Jason s'était blessé au bras en tombant. Avant d'aller le chercher, j'ai appelé un praticien de la Science Chrétienne pour qu'il prie.

Lorsque je suis arrivée, le tableau était effrayant; Jason était terrorisé et souffrait beaucoup. Dès que nous sommes rentrés à la maison, j'ai de nouveau appelé le praticien, et nous avons parlé plus longuement des faits spirituels concernant mon fils, afin qu'il n'ait plus mal et qu'il guérisse.

Le lendemain matin, son état s'était beaucoup amélioré, et il était prêt à attaquer la journée. Je me suis demandé si nous devions lui faire passer des radios. Mais j'avais appris, dans la Science Chrétienne, qu'on pouvait s'en remettre à Dieu pour être guéri, quelles que soient les circonstances matérielles, et que rien ne résistait au pouvoir et au gouvernement divins. Le pouvoir de Dieu était absolu, et, par conséquent, l'Amour divin était l'autorité suprême à tout moment et en tout lieu. Après avoir prié ainsi en écoutant Dieu, avec l'appui de mon mari, nous avons pris la décision de nous en remettre entièrement à Dieu pour la guérison. Jason est retourné à l'école le lundi, et a eu une journée normale.

Puis, une semaine après sa première chute, Jason s'est à nouveau blessé au bras dans la cour de récréation. Je l'ai emmené à la maison, et nous avons parlé de l'amour et du pouvoir de protection de Dieu. Très vite, il s'est mis à rire et il ne souffrait plus. L'école m'a informée que les services de protection des enfants avaient été mis au courant de l'incident, en conformité avec les lois de l'État. Le lendemain, une assistante sociale est venue à l'école pour nous interroger, Jason et moi. Cela m'a choquée, et j'ai soudain eu si peur que je voulais m'enfuir. Cependant, je savais que j'avais le devoir, et la force, de faire face à ses questions. J'ai eu la possibilité d'appeler un praticien pour lui demander de l'aide par la prière, et nous avons prié pour savoir qui gouvernait vraiment la situation: ce n'était ni moi ni l'assistante sociale, c'était Dieu. Cela a apaisé mes craintes.

L'entrevue s'est très bien passée. Trois jours plus tard, pourtant, l'assistante sociale m'a annoncé que si nous n'emmenions pas Jason voir un médecin, elle nous y forcerait par décision judiciaire. Une jointure avait été endommagée, ce qui pouvait provoquer une déformation du bras si la fracture n'était pas réduite comme il le fallait. Mon mari et moi avons continué de prier, en cherchant aussi à nous libérer du sentiment d'injustice que nous avions ressenti lorsqu'il a été insinué que Jason ne recevait pas les meilleurs soins. Nos prières nous ont amenés à accéder à la demande de l'assistante sociale, afin de ne pas donner l'impression que notre fils était tiraillé entre l'État et notre religion.

J'ai donc emmené Jason chez un médecin généraliste qui a pris des radios du bras et confirmé qu'il avait bien été cassé. Il m'a ensuite annoncé que la fracture avait été parfaitement réduite et qu'elle guérissait très bien. Le docteur lui a fourni un support à porter à l'école, pendant les moments d'activité physique. Lors d'une visite obligatoire, deux semaines plus tard, le docteur a constaté que la guérison était presque complète. J'ai appris, par la suite, que la fracture aurait pu nécessiter une intervention chirurgicale, si le traitement par la Science Chrétienne ne l'avait pas déjà guérie. J'étais si reconnaissante pour cette guérison qui m'a aussi donné l'occasion d'expliquer ce qu'est la Science Chrétienne aux autorités de l'école. En fait, la directrice de l'école était si intéressée qu'elle a demandé, et reçu, un exemplaire de Science et Santé avec la Clef des Écritures de Mary Baker Eddy.

La guérison a-t-elle été complète et permanente? Jason ne se souvient même plus de quel bras il s'agissait!

Un jour, j'ai remarqué que l'un de nos fils, alors à peine âgé de deux ans, avait un testicule plus gros que l'autre. J'ai prié pour lui et demandé l'aide par la prière d'un praticien. Cependant, il n'y avait aucun progrès sur le plan physique. Comme notre fils ne souffrait pas, mes prières sont devenues sporadiques. L'aspect physique était de plus en plus inquiétant, et mon mari et moi avons fini par avoir très peur.

Mon mari pensait que nous devrions emmener notre fils chez un médecin, et c'est ce que nous avons fait. Ce dernier a diagnostiqué une hydrocèle de naissance, et il nous a informés qu'une intervention chirurgicale s'avérait nécessaire, sinon notre fils risquait d'avoir une hernie.

Chaque fois que je lui donnais un bain, j'étais envahie par la peur au point d'avoir de la difficulté à respirer. «Pour qui est-ce que je me prends? Je ne suis pas capable de guérir une telle maladie. Je n'en sais pas assez», pensais-je. Parfois, j'envisageais de faire opérer mon fils, pour en finir.

Je me suis rendu compte que je devais changer la façon dont j'abordais la prière et me mettre véritablement à étudier la Bible et les écrits de Mary Baker Eddy. Puis, je me suis efforcée de ne pas regarder l'organe affecté lorsque je donnais un bain à mon fils, mais de garder à l'esprit la vérité, à savoir que tout ce que je voyais, c'était la perfection divine. Je priais pendant toute la durée du bain. J'ai refusé d'admettre que quelque chose d'autre que Dieu était puissant. « L'entendement humain agit plus puissamment pour contrebalancer les discordances de la matière et les maux de la chair, dans la mesure où il met moins de poids dans le plateau matériel ou charnel de la balance et plus de poids dans le plateau spirituel» (Science et Santé, p. 155). Dieu avait créé un enfant parfait, rien de moins. L'idée qu'un enfant pouvait avoir été créé avec une anomalie a tout simplement disparu de ma pensée. J'avais moins peur. Il m'a été de plus en plus facile de lui donner un bain. D'abord, je me suis débarrassée de la peur et de l'inquiétude, puis, peu de temps après, notre fils a été guéri. Son aspect physique est redevenu normal, et l'est resté.

J'ai appris que je pouvais confier à Dieu le soin de guérir, quelles que soient les circonstances humaines ou la durée d'un problème.


Je suis heureux de confirmer que ces guérisons se sont produites telles qu'elles ont été relatées. Lorsque Jason s'est cassé le bras, il m'a beaucoup impressionné: il s'en est tout de suite remis à Dieu pour être guéri, à la grande vérité que Dieu est Touten-tout. J'étais reconnaissant d'être témoin de cette guérison, et surtout des progrès spirituels qu'elle a fait faire à ma famille.

En ce qui concerne l'autre problème, j'ai soutenu ma femme dans sa décision d'avoir uniquement recours au traitement par la Science Chrétienne, et j'ai été témoin d'une guérison qui s'est avérée permanente. Moi aussi, j'ai eu peur quand l'état de l'organe a empiré. Cependant, je savais aussi que les vérités que nous avions apprises en étudiant la Science Chrétienne apporterait la guérison.

Cette note a pour objet de confirmer votre grande foi qui laisse l'ordre divin régner dans votre vie familiale... Il est d'une extrême importance, à mes yeux, que gloire soit rendue à Dieu, par l'intermédiaire de Son fils, Jésus-Christ. Votre obéissance, votre gentillesse, votre fidélité et votre sagesse sont doux à ma mémoire, tandis que je continue dans ce ministère auquel Jésus m'a appelé.

Votre fils était né avec une hydrocèle... Je peux affirmer avec joie qu'aucune intervention chirurgicale ne sera nécessaire pour corriger cette anomalie, parce que le pouvoir de guérir qu'a Dieu l'a déjà corrigée.

La deuxième bénédiction et le deuxième miracle, c'est la guérison de la fracture qu'il s'était faite au coude gauche... Quelques jours après la chute, les radios ont montré que les os étaient parfaitement alignés. À nouveau, on a laissé l'ordre divin régner de façon absolue... Lorsque je l'ai examiné, l'enflure et la douleur qui accompagnent généralement ce type de blessure étaient très minimes. J'ai aussi été très surpris par la rapidité avec laquelle il a retrouvé l'usage de son coude.

Que Dieu continue de vous bénir et de vous donner la force par Sa paix!

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