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L'imperfection est illégitime !

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne d’octobre 1996


Il semble bien souvent plus facile d'accepter l'imperfection comme plus proche de la normale et la perfection comme plus difficile à atteindre, voire même anormale. Il ne devrait cependant pas en être ainsi, car il est dit très clairement dans la Bible que «Dieu vit tout ce qu'il avait fait et voici, cela était très bon» Gen. 1:31.. Tous ceux qui adorent un seul Dieu infini, le bien, devraient pouvoir s'accorder sur le fait que Sa loi garantit l'éternité de Son univers parfait, y compris l'homme. Examinez un instant cette vérité: l'état normal et naturel de la création divine, c'est la perfection ! Il en découle que toute prétendue imperfection ou anomalie est en fait une contrefaçon, une perversion de l'original et peut donc être considérée comme illégitime, comme n'étant ni plus ni moins qu'un mensonge au sujet de ce qui est bon et vrai.

Cependant, sous couvert de sagesse humaine, l'humanité est littéralement forcée à se prosterner devant de prétendues lois physiques et devant les restrictions qu'elles imposent, du berceau à la tombe. Ce processus totalement erroné, qui engage à croire à des lois et à des causes matérielles, n'est pratiquement pas remis en question par les systèmes éducatifs, les gouvernements et par la médecine, sans parler du monde du commerce. La prolifération insidieuse des fausses croyances se poursuit dans une grande mesure sans être ni démasquée ni reconnue. Elle se cache souvent sous le voile de ce qu'on appelle «progrès», ou «meilleure information». Par conséquent, à l'ère de la communication instantanée, des descriptions très détaillées, visuelles aussi bien qu'auditives, de maladies et de dégradation, sont sans cesse diffusées dans le monde entier.

À la fin du dix-neuvième siècle, Mary Baker Eddy, qui découvrit la Science Chrétienne, discerna le rôle dangereux que jouaient les médias de l'époque en propageant des images de maladie et de désastres parmi les hommes. Dans son livre, Science et Santé, elle écrit à ce sujet: «La presse sème inconsciemment dans la famille humaine bien des chagrins et bien des maladies. Elle le fait en donnant des noms aux maladies et en publiant de longues descriptions qui réfléchissent distinctement dans la pensée des images de maladies. Un nom nouveau donné à une maladie produit sur le public le même effet qu'un nom parisien donné à un modèle nouveau. Chacun s'empresse de l'avoir. Une maladie décrite en détail coûte à plus d'un homme le bien-être de son existence terrestre. C'est payer bien cher le savoir humain !» Science et Santé, p. 196.

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