J’aimerais Par Ce témoignage exprimer ma joie et ma gratitude. L’étude de la Science Chrétienne m’a procuré de merveilleuses occasions d’apprendre à mieux connaître la totalité et la toute-présence de Dieu. M’appuyant sur Dieu seul, j’ai obtenu la guérison de problèmes physiques et la solution de difficultés liées à l’emploi, au logement, aux ressources.
Voici deux guérisons que j’ai eues il y a plusieurs années et qui m’ont beaucoup aidé et encouragé.
Un jour, un ami habitant au centre du Natal me demanda si j’accepterais de m’occuper de son haras pendant qu’il serait en voyage outre-mer avec sa femme. Comme ce n’était qu’un petit élevage de cinq chevaux, j’acceptai de bon cœur.
Le premier matin, je m’éveillai avec les symptômes de la grippe. Je me levai pour me rendre aux écuries afin d’organiser les tâches de la journée avec le chef palefrenier, un homme sur lequel on pouvait vraiment compter. Il me conseilla de retourner me reposer à la maison, et m’assura qu’il s’occuperait des divers travaux à accomplir. Je lui expliquai que j’allais prier Dieu afin de guérir cette maladie.
Je me rendis dans ma chambre et ouvris Science et Santé de Mary Baker Eddy à la page 341. Je me mis à lire le chapitre « Réponses à quelques objections ».
Au bout de quelques instants, je tombai sur l’énoncé suivant: « La Science Chrétienne réveille le pécheur, rachète l’incroyant et relève l’impotent de son lit de douleur. » Après l’avoir médité, je me rendis compte que c’était un péché d’accepter un autre pouvoir que Dieu. C’était contraire aux Dix Commandements et aux enseignements de la Science Chrétienne. Je compris que l’omnipotence de Dieu détruit à la fois la pensée pécheresse et la maladie. Très intéressé par ce que je lisais, je poursuivis jusqu’à la fin du chapitre. Je me sentis alors plus détendu, et je m’étendis sur le lit pour réfléchir. Je dormis ensuite pendant deux heures. A mon réveil, tous les symptômes de la grippe avaient disparu. Plus tard, le palefrenier fit remarquer que j’étais guéri.
Le lendemain, il m’annonça que la pompe électrique s’était arrêtée et qu’il n’y avait presque plus d’eau pour les chevaux. C’était un samedi. Je téléphonai à l’électricien du village le plus proche et appris qu’il n’était pas disponible avant le lundi. Sachant que les chevaux auraient besoin d’eau plus tard dans la journée, j’affirmai la totalité de Dieu et Son intelligence toujours présente. Alors que je priais, je me souvins avoir vu dans l’atelier une pièce susceptible de s’adapter au moteur de la pompe. Je la retrouvai et, m’appuyant sur Dieu pour être guidé, je réussis à faire fonctionner la pompe.
Ces deux incidents m’emplissent de reconnaissance et de joie. Ils sont à mes yeux la preuve que Dieu, l’Amour divin, est toujours présent, et qu’Il prend sans cesse soin de l’homme et de toutes Ses créatures.
Gillitts (Natal),
Afrique du Sud
