Il Y A Ceux qui puisent leur force dans l’organisation. Leur vie est un ballet de réunions, d’appels téléphoniques, d’emplois du temps chargés. Mais il y a aussi ceux qui voient l’organisation, et la place éventuelle qu’elle occupe dans leur vie, d’une tout autre manière. Ceux-là tendent à privilégier leur indépendance, éprouvant une impression d’empiètement ou de brimade quand ils se trouvent entraînés dans une organisation.
Ces deux façons de voir nécessitent une réflexion très honnête quand il s’agit d’une organisation d’Église. La personne dont la vie est construite essentiellement autour de ses relations avec autrui doit peut-être prendre un peu de recul pour mieux apprécier l’indépendance. Quant à celui qui répugne à prendre des responsabilités et à assumer les devoirs de l’organisation, il devrait peut-être songer à être moins égoïste et à aider plus efficacement ses semblables grâce à une approche unifiée des problèmes à résoudre.
L’Église apporte aux hommes de nombreux bienfaits. L’activité d’Église peut, par exemple, favoriser un certain ordre, une certaine structure dans la vie d’un être. L’ordre est un élément très important. C’est le cas, en particulier, quand on veut démontrer des qualités spirituelles dans un monde qui semble très instable.
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