Dans tous les coins du monde, les émissions sur ondes courtes du Héraut de la Science Chrétienne atteignent de nombreux auditeurs. Nous avons pensé que ceux de nos lecteurs qui n’ont pas entendu ces émissions aimeraient lire des extraits de certaines d’entre elles.
Le présentateur: Voici Le Héraut de la Science Chrétienne, émission diffusée par La Société d’Édition de la Science Chrétienne, à Boston, Massachusetts, U.S.A.
Moji: Aujourd’hui, nous allons parler de la prise de position en faveur de ce qui est bien. Au micro, ...
Elliot: et .
Moji: Dans le monde entier, des gens s’efforcent de prendre activement position en faveur de ce qui leur semble bien.
Elliot: C’est exact, Moji. Et nous allons entendre une personne qui a travaillé de nombreuses années pour le gouvernement des États-Unis, au département des affaires étrangères. Il s’agit de . Bill va nous faire un bref commentaire sur la façon dont il a prié chaque fois qu’il a dû prendre position au cours de sa carrière. C’est qui s’entretient avec lui.
Laurie: Bill, diriez-vous que prendre moralement position, c’est s’en remettre à Dieu ?
Bill: Oui, dans la mesure où il ne s’agit pas d’imposer sa conception personnelle de ce est bien. Chaque fois que j’ai dû prendre en considération des problèmes moraux, je me suis attaché à ces paroles bibliques: « Dieu est Esprit » et j’ai été encouragé par la définition que Mary Baker Eddy donne de Dieu dans son livre Science et Santé avec la Clef des Écritures ; parmi les noms qu’elle attribue à Dieu, on trouve le Principe. Dieu est également l’Amour et la Vérité. Ces derniers contribuent à donner un sens réconfortant et constructif au mot Principe, si bien qu’au lieu d’être tenté de suivre ma volonté personnelle, je fixe ma pensée sur la nature aimante et spirituelle de Dieu, et donc du Principe, qui nous aide à résoudre les problèmes pour le bien de toutes les parties concernées...
Moji: Notre invitée suivante, , a été guérie quand elle était toute petite, et cela a joué un rôle plus tard dans son existence.
Elliot: Oui, et c’est cette guérison, que lui a rappelée son père, , qui lui a donné le courage de prendre position à un moment où il lui fallait agir conformément au bien.
Barbara: Nous habitions dans un pays étranger, où mon mari possédait une boîte de nuit. C’était un club de jazz attenant à un casino. De nombreuses célébrités fréquentaient cet endroit et j’aurais dû être heureuse de mon existence, mais c’était en fait tout le contraire. Je n’aimais pas vraiment l’alcool, même si j’en buvais beaucoup.
Après avoir vécu ainsi deux ou trois ans, je me suis retrouvée abandonnée par mon mari, sans un sou et très secouée moralement. Et puis, un jour, mon père m’a envoyé quelque chose qui m’a complètement transformée. Il s’agissait de son récit d’une guérison que j’avais eue à ma naissance, récit qui avait été diffusé sur les ondes par La Société d’Édition de la Science Chrétienne, au cours d’une émission intitulée: La Vérité qui guérit. Voici ce que racontait mon père:
Orin: Le médecin m’avait dit: « Elle ne pourra jamais marcher comme les autres enfants, et la médecine ne peut rien y faire. » Mais il savait que sa mère et moi, nous nous intéressions à la Science Chrétienne. Il nous conseilla d’appeler un praticien de la Science Chrétienne, ce que nous fîmes, naturellement.
La praticienne contactée nous dit: « Sachez simplement que vous n’êtes pas le créateur d’un enfant. Votre fille est une idée de Dieu. Dieu l’a créée, Il l’a créée parfaite, et Il a le pouvoir de la maintenir dans cet état de perfection. » Elle dit aussi: » Elle marchera quand ce sera le moment pour elle de marcher. » Et c’est ce qui arriva ! A l’époque où, selon les livres que nous avaient donnés les médecins, elle était censée marcher, elle fit ses premiers petits pas. Et, depuis, elle a toujours marché parfaitement.
Barbara: Après avoir lu ce récit, j’ai été remplie d’un sentiment de gratitude et, pour la première fois depuis longtemps, d’une profonde humilité. Je ne m’étais jamais sentie très concernée par cette guérison survenue quand j’étais bébé et, à vrai dire, je ne m’en souvenais pas.
En y repensant, je me rends compte aujourd’hui que la guérison de mes pieds soulevait un problème d’identité. Mes parents avaient dû reconnaître que j’étais une idée de Dieu, une idée par conséquent complète qui ne dépendait pas de la structure matérielle. Devenue adulte, il me fallait, à mon tour, prendre conscience de cette identité spirituelle. Il me fallait la comprendre moi-même. Je buvais encore énormément, plus ou moins pour faire comme tout le monde. Mais le temps était venu pour moi de voler de mes propres ailes, de prendre position en faveur de ce qui me semblait être le bien. Par exemple, il me fallait cesser de fermer les yeux sur la conduite immorale des autres, cesser d’adhérer aux normes de ce milieu.
Ma régénération a commencé lorsque j’ai décidé de prendre position pour mes principes. J’ai contacté une praticienne de la Science Chrétienne que j’avais connue quand j’étais à l’école du dimanche, car le profond chagrin que je ressentais, joint à un sentiment d’abandon et d’échec, faisaient que j’avais encore énormément besoin d’aide.
En moins de dix jours, j’étais complètement guérie de l’habitude de boire et de fumer, et je fréquentais à nouveau l’église. J’avais découvert que le bonheur véritable ne dépend pas des choses superficielles de la vie. J’avais trouvé une paix et une joie réelles. La guérison initiale de mes pieds m’a aidée à maintes reprises au cours des années, m’apportant chaque fois la preuve qu’une guérison n’appartient pas seulement au passé.
Si vous souhaitez écouter une émission compète du Héraut de la Science Chrétienne, vous pouvez demander une liste des fréquences sur ondes courtes de votre région, en écrivant à: Le Héraut de la Science Chrétienne; P.O. Box 58; Boston, MA, U.S.A. 02123
