Je Suis Très reconnaissante de ce que mes parents et mes grands-parents aient été Scientistes Chrétiens. Les guérisons que ma sœur et moi avons eues dans notre enfance sont vraiment les joyaux de la famille. Maintenant mariée et mère de deux enfants, c’est toujours avec joie que j’évoque ces premières guérisons.
Un jour, alors que j’étais en première ou deuxième année d’école, mes parents m’ont gardée à la maison parce que je n’étais pas très bien. Le soir, je ne pouvais plus bouger les jambes. Ma mère et mon père ont prié tard dans la nuit. Ils m’ont raconté comment ils ont lu à haute voix des passages vivifiants de la Bible et de Science et Santé de Mary Baker Eddy. A quatre heures du matin, je suis entrée dans leur chambre en disant: « Papa, je suis tout à fait guérie, et je me sens toute fraîche et toute propre. » Ce fut là la fin de ce problème.
Une autre fois, au cours de mes premières années d’école, ma sœur et moi avions découvert des petits chats abandonnés et nous les avions ramenés à la maison. Peu après, mon corps était couvert de taches rouges. Maman a prié toute la soirée, et le lendemain tous les symptômes avaient disparus.
Vers douze ans, j’ai commencé à avoir de la peine à lire au tableau. Une praticienne de la Science Chrétienne a accepté de prier pour moi. Elle m’a demandé d’étudier la définition des yeux que donne le Glossaire de Science et Santé. Elle commence ainsi: « Yeux. Discernement spirituel — non matériel, mais mental. »
Au début, je n’avais aucune idée de ce que voulait dire « discernement spirituel », mais je l’ai compris en étudiant la définition et en priant ainsi que je l’avais appris à l’école du dimanche. Ma vue s’est améliorée, et je n’ai jamais porté de lunettes. Je pense à cette guérison toutes les fois que je passe l’examen de la vue nécessaire au renouvellement de mon permis de conduire.
A un moment donné, j’ai eu un problème au pied. Une sorte de verrue s’était développée sur ce pied qui était devenu sensible et saignait facilement. J’ai prié, méditant ces paroles d’un cantique de l’Hymnaire de la Science Chrétienne: « Prends, Seigneur, tous mes efforts, / Rends mes pas joyeux et forts. » Cette difficulté a été guérie de manière permanente.
Alors que j’avais treize ou quatorze ans, une éruption m’est apparue sur le dos, puis s’est étendue. Au début, je n’ai pas prié à ce sujet et, au bout de quelques jours, l’éruption me couvrait presque tout le dos; ma mère devait régulièrement changer les pansements. J’ai alors affirmé mon être réel d’enfant de Dieu, parfait et spirituel. J’ai téléphoné à une praticienne qui a prié pour moi et, du jour au lendemain, il s’est produit une amélioration remarquable. J’ai été émerveillée et pleine de gratitude lorsque j’ai constaté le changement spectaculaire qui avait eu lieu. Une nouvelle peau s’est rapidement formée, et il ne reste aucune cicatrice.
Enfin, j’aimerais dire merci pour la guérison d’une extrême timidité. Fillette, je trouvais très difficile de faire face à de nouvelles situations et d’entrer en contact avec les gens. A six ans, je pleurais presque tous les matins avant d’aller à l’école. Cette difficulté a peu à peu disparu, au point qu’à dixhuit ans, je me suis retrouvée présidente du plus grand club de mon lycée. On me considérait très sociable et je m’exprimais avec aisance devant de larges auditoires. J’attribue ce changement à la fois aux prières de mes parents et aux efforts que j’ai accomplis pour vivre ce que m’apprenait la Science Chrétienne sur ma véritable nature spirituelle, à l’image et à la ressemblance de Dieu.
Je suis très reconnaissante d’avoir été élevée dans une famille où l’on considérait indispensable de prier et d’aller régulièrement à l’église. Je suis heureuse de pouvoir bénéficier des efforts désintéressés des praticiens de la Science Chrétienne et d’avoir suivi le cours de Science Chrétienne.
Shepherdstown
(Virginie-Occidentale), U.S.A.
En tant que maman de Joan Snipes, je suis heureuse de confirmer son témoignage. Le soir où, en entrant dans sa chambre, j’ai constaté que Joan ne pouvait plus bouger les jambes, j’ai tout de suite appelé une praticienne de la Science Chrétienne. Pendant la nuit, mon mari et moi avons étudié et prié: nous revenions sans cesse à « l’exposé scientifique de l’être » énoncé dans Science et Santé, à la Prière du Seigneur et à la « Prière quotidienne » qu’on trouve dans le Manuel de L’Église Mère de Mary Baker Eddy. Nous nous sommes alors tous les deux sentis enveloppés dans la paix et l’amour de Dieu. Imaginez notre joie lorsqu’il fut évident que Joan avait été complètement guérie. Au cours des années qui ont suivi, j’ai toujours pensé que la réceptivité de Joan aux enseignements de la Science Chrétienne, sa fermeté et sa conviction avaient été fortifiées par cette merveilleuse conscience purificatrice du grand pouvoir de Dieu.
Lorsque j’ai découvert, un soir, que Joan avait contracté une certaine forme de gale, j’ai eu la certitude que l’amour exprimé par nos filles en s’occupant des chatons ne pouvait être puni. Dans leur véritable identité spirituelle, elles étaient les enfants de Dieu, sans tache, ni contamination, elles ne pouvaient rien recevoir qui ne soit bon et qui ne vienne de Dieu. Le lendemain, la peau de Joan était nette.
Thomaston (Maine), U.S.A.
