Dans mon enfance, j’entendais souvent citer cette phrase de Paul: « Mais, comme il est écrit, ce sont des choses que l’œil n’a point vues, que l’oreille n’a point entendues, et qui ne sont point montées au cœur de l’homme, des choses que Dieu a préparées pour ceux qui l’aiment. » I Cor. 2:9.
Ma mère employait ces mots pour décrire sa foi profonde en un paradis qui était un lieu bien précis, réservé à ceux qui observaient les lois de Dieu. Cette promesse d'un endroit si beau et si parfait qu’on ne pouvait le décrire, l’imaginer ni le percevoir avec l’œil humain, mais que nous pourrions atteindre, comme le disait un vieux cantique que nous aimions, « dans l’au-delà des bienheureux », nous réconfortait l’une et l'autre.
Après toutes ces années, la promesse de Paul a pris plus d’importance encore pour moi, mais d’une façon différente, parce que j’y trouve un sens plus profond.
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