Tu as peut-être entendu dire que les Scientistes Chrétiens ne prennent pas de remèdes. C'est vrai... dans un certain sens. Nous ne prenons pas de remèdes comme l'aspirine ou d'autres médicaments. Par contre, nous « prenons » de la prière, et nous essayons de prier beaucoup. C'est la meilleure façon de retrouver la santé et de la garder.
Quelquefois, nous pensons la maladie et le corps suit cette pensée. Lorsque nous sommes malades, nous prions. (Et nous prions aussi quand nous ne sommes pas malades !) Nous prions pour savoir que nous sommes vraiment enfants de Dieu, et donc que nous ne pouvons pas vraiment être malades.
Lorsque nous voyons plus nettement dans notre pensée que nous sommes enfants de Dieu, la guérison se produit.
J'ai eu un exemple de guérison quand j'ai joué dans un tournoi de hockey. Juste avant le début de la première manche, j'ai eu mal au ventre.
Je ne me rappelle pas exactement ce que j'ai dit dans ma prière, mais c'était à peu près comme ça: J'ai pensé à Dieu et à ce qui est spirituellement vrai de l'enfant de Dieu. J'ai pensé que ce que Dieu crée ne peut pas avoir mal. Puisque Dieu est parfait, Sa création est forcément parfaite. Et moi, comme tout le monde, je fais partie de cette création.
Dieu ne connaît que le bien, Il ne crée que le bien. Donc les enfants de Dieu, moi y compris, ne connaissent que ce qui est bien et bon. Nous exprimons Dieu et Son omnipotence par de bonnes pensées et une bonne vie.
Deux minutes après, je me sentais bien. Et plus tard dans le tournoi, j'ai marqué un but pour la première fois de ma vie ! J'étais vraiment content.
Christ Jésus guérissait les malades. Ce n'était pas de la magie. Il guérissait les gens si vite qu'on aurait pu le prendre pour de la magie, mais ce n'en était pas. Il priait Dieu, notre Père, notre vrai Père, et cette prière guérissait les malades.
Si nous ne faisons pas tout ce que faisait Jésus, c'est peut-être parce qu'il comprenait le pouvoir de Dieu mieux que personne. Il guérissait instantanément. Mais, moi aussi, certaines fois, j'ai été guéri instantanément.
Je commence seulement à apprendre ce que Jésus devait savoir. Mais il a dit: « Celui qui croit en moi fera aussi les œuvres que je fais. » Jean 14:12.
Dans son livre Science et Santé, Mary Baker Eddy explique que nous sommes les enfants de Dieu. Pour répondre à la question « Qu'est-ce que l'homme ? », elle commence par dire: « L'homme n'est pas matière; il n'est pas composé de cerveau, de sang, d'os et d'autres éléments matériels. Les Écritures nous apprennent que l'homme est fait à l'image et à la ressemblance de Dieu. »
Tu peux lire le reste de sa réponse qui commence à la page 475 de Science et Santé. J'ai été guéri par ce que m'apprend ce livre: l'homme n'est pas matériel, mais spirituel, et Dieu prend soin de lui.
Tout être, toute créature est en réalité l'expression de Dieu. Voilà ce que nous savons quand nous prions, et c'est cela qui nous guérit.
Note des parents:
Je désire confirmer la guérison de notre fils. Cela s'est bien passé comme il le dit. Nous étions tout près de notre destination, la ville de Burlington, dans le Vermont, où Marshall devait disputer un tournoi de hockey de trois jours, le dernier week-end du mois de janvier 1986, lorsqu'il a commencé à se sentir mal dans la voiture. Il a prié pendant que sa mère et moi, nous le soutenions également par la prière. Il s'est senti bien presque immédiatement. Il a pu passer à un niveau supérieur alors qu'il était dans sa première année de hockey sur glace.
Marshall a onze ans.
Marshall prie pour lui-même tous les jours depuis l'âge d'environ quatre ans. Nous pensons que cette prière ne l'a pas seulement aidé dans le cas de cette guérison; quand il a appris à faire du patin l'hiver précédent, cela lui a donné de la persistance, de l'endurance et un sentiment d'amour fraternel.
Il est merveilleux de savoir que Marshall voit les effets de sa prière et l'importance de suivre le conseil de Mary Baker Eddy, qui nous dit de prier chaque jour pour nous-mêmes « non pas oralement ni à genoux, mais mentalement, humblement, et avec insistance » Écrits divers, p. 127..
