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Un jour j'allai à la fenêtre juste à temps pour voir qu'un jeune camarade...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de juillet 1984


Un jour j’allai à la fenêtre juste à temps pour voir qu’un jeune camarade de jeu dehors frappait notre fillette de quatre ans de toutes ses forces sur la tête avec un bout de tuyau en métal. Je venais d’étudier la Bible et les œuvres de Mary Baker Eddy, et cette pensée me vint à l’esprit: « Il n’y a pas d’action agressive. » C’étaient là des mots qui confirmaient un univers d’Amour, non de haine ni de destruction.

Je ramenai immédiatement notre fille à la maison et je la réconfortai. Je lui parlai du fait que Christ Jésus avait donné la preuve qu’il n’avait pu être affecté par les choses cruelles que les gens lui avaient faites quoiqu’il ait exprimé le plus grand amour que le monde ait jamais connu. Les pleurs se clamèrent, et la bosse, de même que la douleur, disparurent presque instantanément. Bientôt l’enfant sauta en bas de la table et voulut prendre une pomme pour son ami — la blessure et la bosse disparues complètement, la haine effacée. Or, la mère du jeune garçon lui avait aussi parlé — lui faisant la leçon. Mais comme je fus reconnaissante de voir cette petite fille, avec sa réceptivité d’enfant, abandonner l’ancien pour le nouveau, reconnaissant que la mauvaise action d’un autre ne peut nous faire de mal quand nous faisons et reconnaissons ce qui est juste. (Et comme une pensée paisible peut favoriser la guérison — loin de la clameur des opinions et commentaires humains !)

A l’âge de douze ans, une autre de nos filles eut une grave maladie. Son père n’étant pas Scientiste Chrétien, elle fut emmenée à l’hôpital. Quand cela arriva, mon désespoir fut si grand que j’allai vers mon professeur de Science Chrétienne. Je m’écroulai en larmes et lui racontai ce qui s’était passé. Elle me réconforta et me recommanda d’étudier le Psaume cent trente-neuf. Ce que je fis, et ce fut un bienfait pour moi durant la période qui suivit.

Les meilleurs médecins de l’hôpital universitaire soignaient l’enfant. A un certain moment, ils nous prirent à part, mon mari et moi, et nous dirent qu’il s’agissait d’une maladie très rare, sans aucun remède connu. Le moniteur de l’École du Dimanche de notre fille, qui était un praticien de la Science Chrétienne, ainsi que mon professeur, nous soutinrent pendant ces jours sombres. Finalement, l’enfant revint à la maison. Mais elle était dans un triste état. A compter de ce moment-là, elle ne prit plus aucun médicament. Il y eut une purification importante de la pensée et des mobiles dans notre foyer, et en quelques semaines, elle fut entièrement guérie grâce au seul traitement de la Science Chrétienne.

Elle fut ensuite en mesure de rattraper le travail scolaire en retard. L’infirmière de l’école nous dit qu’elle n’avait jamais auparavant entendu parler d’une guérison de cette maladie-là. Et le médecin ajouta que c’était « un miracle » que notre fille se soit remise. Elle réussit à obtenir d’excellents résultats scolaires et à faire des prouesses en athlétisme. En fait, quand elle fut à l’université, elle établit, dans l’État où nous vivons, le record de natation sur le dos.

Une autre de nos filles passa sa seconde année d’université en France, et elle devint membre d’une filiale de l’Église du Christ, Scientiste, dans la ville où elle demeurait. A la fin de l’année, elle entreprit un voyage en Espagne, mais une fois là-bas, elle tomba gravement malade. Les gens chez qui elle logeait s’épouvantèrent, et comme elle était mineure, la loi espagnole voulait qu’on appelle un médecin. Le diagnostic révéla une pleurésie avec une forme de pneumonie.

Le médecin lui dit qu’elle ne pourrait se remettre qu’à condition de rester au lit tout l’été et de prendre des médicaments. Notre fille pria alors son hôtesse de téléphoner à son professeur de Science Chrétienne aux États-Unis et de lui expliquer la situation. Ce fut fait très gentiment. Pendant l’appel téléphonique, le professeur de notre fille put apaiser les craintes de la maisonnée et assurer que tout irait bien. Ce fut à ce moment-là que la très forte fièvre de notre fille tomba. Les grands-parents de la famille l’emmenèrent ensuite chez eux, où ils lui permirent de se préparer à quitter bientôt l’Espagne afin de rester dans une famille en Angleterre. Ils lui donnèrent également la permission de pratiquer la Science Chrétienne librement. (Le grand-père possédait un exemplaire de Science et Santé de Mary Baker Eddy.)

Une fois mis au courant, ceux d’entre nous qui étaient ici affirmèrent l’omniprésence, l’omnipotence et l’omniscience de Dieu. On contacta une praticienne à Londres, et on lui demanda d’être sur place pour accueillir notre fille, si elle pouvait être transportée. Peu après, notre fille dit qu’elle se sentit poussée à se lever. Elle était encore malade quand on la mit dans l’avion, mais la praticienne pleine d’amour la reçut chez elle à Londres, où elle prit soin d’elle. Dès ce moment-là, son rétablissement fut rapide. Environ une semaine après son arrivée à Londres, elle s’envolait pour revenir chez nous — complètement rétablie. Et elle reprit ses activités normales le restant de l’été.

Une grave blessure guérie instantanément, une maladie inconnue dissipée, une jeune fille malade conduite vers la sécurité et la santé après avoir franchi un quart du globe. Comment pourrais-je croire en quelque autre pouvoir après avoir constaté qu’ « il vit, notre immortel Sauveur » et « fait sa ronde avec » nous ? (Hymnaire de la Science Chrétienne, n° 96.)


Je suis la fille qui étudiait en France et je certifie avec joie les faits présentés par ma mère, sachant comme je le sais que ni les kilomètres ni l’environnement ne peuvent nous séparer de l’application instantanée des vérités curatives que l’on trouve dans la Bible et dans Science et Santé.

Étant maintenant moi-même une jeune maman, je vois combien l’amour pur de ma propre mère, les prières courageuses du professeur de Science Chrétienne et l’aide et le foyer ouvert de la praticienne ont apporté la preuve positive que la Science Chrétienne dispense les soins les plus sûrs, les plus sains et les meilleurs dont on puisse disposer.


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