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Jeanne fut très courageuse

[Le récit suivant, qui rappore une expérience vécue, a été écrit par une Scientiste Chrétienne d'Europe.]

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de juillet 1984


Chaque week-end ou presque, Marc et Jeanne se rendaient avec leurs parents dans une maison en lisière des bois. Durant toute la semaine, les enfants pensaient à cet endroit qu’ils aimaient tant. Le jardin était magnifique. Et comme tout était tranquille et paisible ! On y sentait la présence de Dieu tellement réelle et vraie !

Le soir, ils s’asseyaient tous parfois sur la terrasse et chantaient des chansons ainsi que des cantiques de l’Hymnaire de la Science Chrétienne. Jeanne en apprenait les paroles à son petit frère.

La journée, ils faisaient toutes sortes de choses et ils aidaient aussi leurs parents dans leurs travaux. Un après-midi, alors que leur père était allé aux champignons, leur mère eut besoin de bois pour le feu. Prenant la hache, elle tenta de fendre une bûche. Tout à coup elle poussa un cri de douleur. Elle s’était gravement coupé la main. En voyant le sang, Marc commença à pleurer, mais Jeanne fut très courageuse.

« Couvre ta main, Maman, dit-elle, et assieds-toi là sur la chaise, s’il te plaît. » Jeanne courut dans la maison et saisit une Bible et un exemplaire de Science et Santé. Elle se souvenait bien de ce qu’elle avait appris à l’École du Dimanche sur les accidents: qu’ils n’ont absolument aucune place dans le royaume de Dieu. Ses mains tremblaient et elle serrait les lèvres pour ne pas pleurer, mais elle dit à son petit frère: « Marc, prie un petit peu maintenant. Après nous chanterons des cantiques que je t’ai appris hier. »

Jeanne se rappelait que dans la Leçon biblique Dans le Livret trimestriel de la Science Chrétienne. de la semaine précédente, il y avait, dans Science et Santé de Mary Baker Eddy, quelque chose au sujet des accidents. Elle chercha la page et trouva ces mots: « Quand un accident se produit, vous pensez ou vous vous écriez: “Je me suis fait mal !” Votre pensée est plus puissante que vos paroles, plus puissante que l’accident même, à rendre le mal réel. » Science et Santé, p. 397. Jeanne ne doutait absolument pas de la vérité de ce qu’elle lisait et aussitôt avec toute la ferveur d’une fille aimante, elle lut à haute voix à sa maman ces paroles précieuses. Elle était certaine que l’amour et la présence de Dieu étaient plus puissants que les pensées d’accident.

Le temps passa, mais personne ne s’en aperçut. Lorsque le papa de Jeanne rentra de la forêt, Maman lui expliqua brièvement ce qui s’était passé. Entre-temps, la blessure s’était arrêtée de saigner. C’est alors que Jeanne se mit à pleurer, mais c’était des larmes de gratitude. En peu de jours, la cicatrice disparut. Ils s’en réjouirent tous beaucoup, mais ce qu’ils gardèrent de cette expérience, c’est une reconnaissance profonde et la certitude que l’on peut en toute sécurité laisser Dieu nous soigner.

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