Une guérison par la Science Chrétienne peut venir aussi naturellement et aussi doucement que l'aube, si suavement que tout d'abord on ne s'en aperçoit presque pas. Une telle guérison se produisit un jour où j'allai voir une praticienne de la Science Chrétienne. Elle n'était pas dans son bureau lorsque j'entrai, et je restai assise seule pendant quelques minutes.
Pendant que j'attendais, je ressentis un merveilleux sens d'amour qui m'enveloppait. Pourtant lorsque la praticienne entra, mes yeux étaient remplis de larmes de tristesse. Jusqu'à cette visite, je n'avais pas eu conscience à quel point ma mère me manquait pendant ces premières années de mon mariage. Je m'en ouvris à cette praticienne au cœur chaleureux, qui me parla alors de Dieu, qui est notre Père-Mère aimant, toujours disponible. Lorsque je la quittai, je me sentis chaudement réconfortée et élevée. Jamais plus ma mère ne me manqua. Au cours des années qui suivirent, maman et moi avons passé ensemble de nombreux bons moments, et même lorsqu'elle s'éteignit, il n'y eut pas de sentiment de séparation.
Chaque lueur plus claire de l'amour de Dieu et de Sa bonté résultant de mon étude de la Science Chrétienne a été accompagnée d'une plus grande liberté. Ce fut vraiment le cas lorsque je fus guérie après plusieurs années de douleurs constantes dans un bras. Au début, le mal semblait trop insignifiant pour que j'y prête attention, bien que, pendant la nuit, si je dormais sur ce bras, la douleur me réveillât. Mais un jour, au moment de partir en vacances pour quelques jours que nous avions projeté de passer dans une station de canotage et de pêche, mon bras devint si douloureux qu'il me fut presque impossible de m'habiller.
Connectez-vous pour accéder à cette page
Pour avoir le plein accès aux contenus du Héraut, activez le compte personnel qui est associé à tout abonnement au Héraut papier ou abonnez-vous à JSH-Online dès aujourd’hui !