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Nous passions, ma femme et moi, des vacances idylliques dans les...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de mai 1983


Nous passions, ma femme et moi, des vacances idylliques dans les magnifiques îles Hawaï, quand j’eus un accident dans la piscine. J’entendis mon genou craquer et je ressentis une vive douleur. Sortant à grand-peine de la piscine, je demandai à ma femme, qui est une Scientiste Chrétienne convaincue, pour la seconde génération dans sa famille, de m’aider à savoir la vérité au sujet de cette blessure au genou. Elle commença par exprimer des vérités spirituelles qui nous étaient familières à la suite d’années d’étude. Me sentant en trop mauvais état pour absorber ce qu’elle disait, je lui recommandai de prier silencieusement pour moi plutôt que de me parler.

A ce moment-là, je pensai à trois façons possibles d’agir: (1) Rapporter l’accident au directeur de l’hôtel. (2) Demander à un médecin de me remettre le genou en place. (3) Appeler un praticien de la Science Chrétienne. Je décidai de ne rien faire de tout cela, mais de m’appuyer sur ma propre compréhension de la métaphysique chrétiennement scientifique, secondé par l’aide morale et spirituelle de ma femme.

« L’exposé scientifique de l’être », à la page 468 de Science et Santé de Mrs. Eddy, que je savais par cœur, se révéla de toute importance en cet instant. Il commence ainsi: « Il n’y a ni vie, ni vérité, ni intelligence, ni substance dans la matière. Tout est Entendement infini et sa manifestation infinie, car Dieu est Tout-en-tout. » Pour moi, le mot clé fut « substance ». Je savais que parce qu’il n’y a pas de substance dans la matière, mon soutien véritable se trouvait dans la compréhension de ma sécurité inviolable en tant qu’idée spirituelle dont Dieu prend soin à jamais et qu’Il maintient fermement dans Sa sollicitude tendre mais solide. Cette vérité concernant ma nature parfaite détruirait la base de l’entendement mortel en mettant à nu son mensonge qui voulait faire de moi un être humain matériel, donc vulnérable.

Il se trouvait que la Leçon biblique du Livret trimestriel de la Science Chrétienne de cette semaine-là comprenait cette phrase appropriée (Ésaïe 35:3): « Fortifiez les mains languissantes, et affermissez les genoux qui chancellent. » Cela m’aida à augmenter ma foi dans le fait que Dieu pouvait me guérir. Je fus bientôt en voie de guérison. Bien que j’eusse boité pendant deux jours, il n’y eut aucune tuméfaction. Le troisième jour, j’étais guéri et marchais normalement. Nous avons loué un tandem pour une excursion qui demandait beaucoup d’énergie et que j’ai pu faire joyeusement dans un bien-être complet.

J’ai eu plusieurs guérisons depuis que mon premier témoignage a été publié il y a une dizaine d’années. L’une d’entre elles, marquante, fut la délivrance de l’habitude de me ronger les ongles, habitude remontant à mon enfance. Au cours des années, je surmontai cette tendance temporairement en utilisant le pouvoir de la volonté, mais je retombais toujours dans cette habitude.

Puis un soir, pendant que j’étais tranquillement assis dans mon église filiale avant le début d’une réunion de témoignage du mercredi, ces paroles se présentèrent avec force à ma conscience: « Tu n’as plus à faire cela. » Ce rappel de mon moi spirituel, pur, qui est dénué naturellement de caractéristiques négatives, me valut l’affranchissement de l’habitude de me ronger les ongles. C’était il y a sept ans, et il n’y eut aucun retour à cette habitude. En réfléchissant à cette guérison, je me suis souvenu de la perception que Mrs. Eddy eut du pouvoir d’une simple pensée venant de Dieu (Rudiments de la Science divine, p. 9): « La puissance spirituelle d’une pensée scientifique et juste, sans effort direct, sans argument oral ou même mental, a maintes fois guéri des maux invétérés. »

Je pense souvent à l’amour et au courage sublimes de notre grand Guide, Christ Jésus, et je suis rempli de respect devant son allégeance inébranlable à notre Père céleste. Je révère aussi cette femme solitaire, courageuse, notre Leader inspiré, Mrs. Eddy, qui, en faisant revivre la guérison chrétienne démontrable, a accompli la promesse de Jésus concernant le Consolateur.


Je suis heureuse de corroborer le témoignage de mon mari. Quand il se blessa dans la piscine, sa demande que je ne parle pas mais que je prie silencieusement m’éveilla et me fit discerner et chasser la crainte qui essayait de me saisir. Un grand calme s’établit, et il fut évident qu’aucune parole audible n’était nécessaire. Je ressentis profondément la présence réconfortante de Dieu et cela m’amena à reconnaître que mon mari était véritablement sain et libre. Je pris conscience que l’homme spirituel ne pouvait être blessé, puisque Dieu maintient son existence sous tous ses aspects. Je suis reconnaissante de la détermination prise par mon mari de s’appuyer uniquement sur la puissance vivifiante et rédemptrice de Dieu, ce qui eut pour résultat ses guérisons de la blessure du genou et de l’habitude de se ronger les ongles.

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