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La Science Chrétienne* a apporté beaucoup de joie dans mon existence...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de mai 1983


La Science ChrétienneChristian Science (’kristienn ’saïennce) a apporté beaucoup de joie dans mon existence et elle m’a donné une véritable raison d’être. Un jour, alors que j’étais étudiante, je fus prise d’un gros rhume pendant les cours du matin. J’étais partie sans mouchoirs et il me fallut choisir entre l’achat d’un sandwich pour midi ou celui de mouchoirs. Comme j’étais étudiante de la Science Chrétienne, je décidai d’acheter le sandwich et de me guérir moi-même du rhume. La guérison fut instantanée. Je ne me souviens pas des vérités spécifiques avec lesquelles j’ai travaillé, mais elles provenaient probablement de l’article « J’ai un rhume » qui était un de mes préférés (voir Écrits divers de Mary Baker Eddy, p. 239–241).

Je fus guérie d’un autre rhume alors que je travaillais comme assistante dans une maison d’édition. Le correcteur d’épreuve s’aperçut que je n’étais pas bien et me fit quelques remarques à ce sujet. J’appelai alors un praticien de la Science Chrétienne pour être aidée par la prière, et je fus guérie presque instantanément. Le correcteur, qui avait essayé de me convertir à sa propre religion, fut très impressionné par la rapidité avec laquelle les symptômes avaient disparu.

Plus tard, alors que j’enseignais à l’école primaire, un kyste se développa sur l’une de mes paupières. Les parents des élèves commencèrent à faire des commentaires sur cette excroissance qui avait grossi et s’était enflammée. Pour cette raison, j’allai voir une praticienne. A la fin de ma visite, elle me dit que si je parvenais à me guérir de la propre justification, je pourrais l’être de n’importe quoi d’autre. Plus tard, en priant au sujet de ce qu’elle m’avait dit, je découvris que c’était vrai: je fus guérie de la tendance à me justifier et aussi du kyste !

Dieu a été mon seul médecin chaque fois que j’ai eu un problème physique. Un jour, après une longue répétition d’orchestre, mon dos me fit si mal que je dus me traîner jusqu’au téléphone pour demander de l’aide. Sur ma demande, un ami vint me lire à la maison le chapitre « Pratique de la Science Chrétienne » dans Science et Santé avec la Clef des Écritures de Mrs. Eddy. La guérison fut très rapide.

Les vérités de la Science sont toujours venues à mon aide dans mes recherches, qu’il s’agisse de trouver un emploi satisfaisant, des amis agréables ou un logement qui me convienne. Au passage, des problèmes de relations se sont trouvés résolus. Je puis dire que sans l’aide de la Science Chrétienne, je n’aurais pas réussi dans mes études, de l’école primaire au second cycle d’université.

Ce témoignage ne serait pas complet si je ne racontais pas certaines des guérisons qui se sont produites dans ma famille. En priant pour elle-même, ma mère fut guérie de ce qui paraissait être un bras cassé à la suite d’une chute dans l’escalier de la cave. Elle fut aussi guérie de ce qui avait été diagnostiqué comme un érysipèle. Elle vécut jusqu’à l’âge de quatre-vingt-onze ans et resta en parfaite santé jusqu’à la fin. Après son décès, je fus rapidement guérie du chagrin, en sachant qu’elle avait une grande compréhension de la Vie éternelle et qu’elle l’aurait toujours.

Je fus aussi guérie du chagrin lors du décès d’un frère que j’aimais, il y a deux ans. A cette époque, j’étudiai de plus en plus la Science Chrétienne. Je trouvai alors beaucoup de réconfort dans l’article de Mrs. Eddy qui s’intitule « Heaven » [Le ciel] (voir The First Church of Christ, Scientist, and Miscellany, p. 267). Un praticien de la Science Chrétienne fit une lecture de passages de la Bible et des écrits de Mrs. Eddy lors du service à la mémoire de mon frère et j’en reçus énormément d’inspiration.

Lorsqu’un autre de mes frères fut atteint de tuberculose, je demandai de l’aide à une praticienne de la Science Chrétienne pour moi-même. Mon frère n’est pas Scientiste Chrétien, mais au cours d’une visite, je lui transmis les vérités que la praticienne avait partagées avec moi. Je me souviens qu’elle m’avait dit que la maladie est une fausse croyance qui a été acceptée dans la pensée. Mrs. Eddy écrit (Science et Santé, p. 411): « La maladie est toujours provoquée par un faux sens qui est nourri mentalement, non détruit. » Mon frère fut réceptif à la vérité et n’eut aucune résistance dans sa pensée à l’égard de la guérison spirituelle. Il fut déclaré guéri et renvoyé de l’hôpital des anciens combattants où il séjournait depuis un an.

Je suis reconnaissante à Dieu pour notre Guide, Christ Jésus, et pour Mrs. Eddy, son disciple fidèle. Dans Écrits divers, notre Leader nous dit (p. 309): « Celui qui avance le plus en Science divine est celui qui médite le plus sur la substance et l’intelligence spirituelles infinies. L’expérience prouve que cela est vrai. » Je suis reconnaissante pour toutes les possibilités de croissance spirituelle qui nous sont offertes dans cette Science.


Je suis le second frère dont il est question dans ce témoignage, et je peux attester que la guérison de la tuberculose s’est passée comme ma sœur l’a racontée. Peu après la visite dont elle a fait mention, je fus envahi d’un sens de paix et libéré de tout souci. Je me sentais tout à fait bien. En conséquence, je fus déclaré guéri de la tuberculose et je pus quitter l’hôpital militaire. Cela s’est produit il y a dix-sept ans. La guérison s’est avérée permanente, et j’en suis reconnaissant.


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