Alors que, pendant les vacances, notre famille séjournait chez des parents, j'attrapai la grippe et je téléphonai à un praticien de la Science Chrétienne pour qu'il m'aide. Guéri au bout d'un jour et demi, je recommençai bientôt à m'alimenter normalement. Ce fut une merveilleuse preuve du pouvoir et de l'amour de Dieu.
Alors que j'éprouvais de la gratitude pour cette démonstration rapide de la sollicitude de Dieu, une nouvelle guérison inattendue se produisit. Je perdis tout désir de boire du café. Antérieurement, je buvais quatre ou cinq tasses de café journellement et, souvent aussi, du thé chaud. Et lorsqu'il m'arrivait de boire quelque chose de frais autre que de l'eau, il s'agissait généralement de boissons comme le coca.
Mrs. Eddy écrit dans Science et Santé (p. 406): « Le goût dépravé pour les boissons alcooliques, le tabac, le thé, le café, l'opium, n'est détruit que par la domination de l'Entendement sur le corps. » Ce passage m'était très familier mais j'avais évité les mots « thé » et « café », et je n'avais regardé le problème en face que de temps en temps, buvant alors du café décaféiné et laissant de côté tout ce qui se rapportait au fait de boire du thé, ma seule excuse étant simplement que cela n'était pas aussi mauvais que de boire du café.
Connectez-vous pour accéder à cette page
Pour avoir le plein accès aux contenus du Héraut, activez le compte personnel qui est associé à tout abonnement au Héraut papier ou abonnez-vous à JSH-Online dès aujourd’hui !