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A une époque où le terme « problème d'apprentissage » n'était pas...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne d’avril 1980


A une époque où le terme « problème d'apprentissage » n'était pas encore employé pour désigner les enfants ayant des difficultés pour apprendre à lire, notre fils n'atteignait pas les résultats auxquels on aurait pu s'attendre dans son travail scolaire. Lorsque nous nous installâmes dans un autre État, il fut affecté à une classe de rattrapage avec une institutrice hautement compétente dans ce domaine. J'avais prié au sujet de ce problème et j'avais eu l'aide de praticiens de la Science Chrétienne à plusieurs reprises.

On découvrit que, parce que j'avais été moi-même une élève brillante à l'école, je m'attendais à ce que mon garçon eût le même succès. Cela entraîna beaucoup de désappointement et de frustration lorsque son retard s'accentua. L'institutrice de la classe spéciale, sachant que nous étions Scientistes Chrétiens, m'encouragea à continuer de prier, car elle avait un profond respect pour la Science Chrétienne. Elle prit un réel intérêt à notre fils et elle m'indiqua une méthode de lecture que je pouvais lui enseigner à la maison. Il commença à progresser lentement, et l'institutrice attribua avec conviction ce résultat à la Science Chrétienne.

Cependant, à la fin de six années d'école, la maîtresse déclara que, malgré les progrès de l'enfant, il ne serait jamais capable de terminer ses études secondaires en raison de son développement tardif. Il n'avait pas les connaissances fondamentales requises pour affronter tous les autres sujets qu'il devrait apprendre. Elle recommanda qu'il apprît un métier.

Comme je continuais à prier, il se fit une lueur. J'entrevis le fait que l'Entendement, Dieu, développe à jamais Son propre savoir infini, et que l'homme est parfaitement uni à cet Entendement. Dans cette pure parenté du créateur et de l'idée, il n'y a ni mortel apathique réfractaire ni mère humaine anxieuse. L'image de la limitation disparut dans une certaine mesure et, avec elle, la fausse responsabilité. Ces mots qu'entendit Christ Jésus (Marc 1:11): « Tu es mon Fils bien-aimé, en toi j'ai mis toute mon affection », m'aidèrent. Après cela, je fis un effort continuel pour rechercher et apprécier les voies uniques dans lesquelles notre fils reflète son Père-Mère Dieu.

Lorsque ce garçon eut atteint sa dernière année de lycée, il était éditorialiste du journal de son école et reçut un prix. Après avoir réussi ses examens de sortie, il choisit une carrière militaire. Ensuite il obtint un diplôme universitaire et satisfit à tous les examens et conditions de l'École navale des Élèves officiers, où il reçut son brevet. Il réalisa son but, qui était de devenir officier pilote et il fut affecté à une escadrille sur un porte-avions. Après cela, il eut l'occasion de poursuivre son instruction. Son cas prouve certainement le fait que la matière ne saurait définir l'état de l'homme.


Le témoignage relaté par ma mère est exact sous tous les rapports et décrit bien les phases de mon adolescence. Je continue d'avoir la plus grande estime pour l'éducation que j'ai reçue en Science Chrétienne.

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