Nous ne pouvons parler de l'état réel des affaires avant d'avoir correctement identifié leur nature. Si donc nous espérons pouvoir trouver et donner une évaluation honnête et utile, il faudra bien réfléchir à ce que représentent pour nous les affaires.
La variété des données humaines impliquées dans ce que nous appelons nos affaires est si étendue, que nous pouvons nous laisser prendre dans le tumulte et la confusion de la pensée mortelle au sujet des affaires. Et nous perdons ainsi de vue le fait spirituel, savoir, que les véritables affaires sont l'activité du bien.
Comment ce fait spirituel agit-il sur l'activité humaine que nous appelons nos affaires ? Les élimine-t-il ? Non, certainement pas, pour autant qu'elles soient constructives. Ce fait spirituel, lorsque notre pensée le perçoit de façon claire et persistante, aura pour effet d'élever notre conception de nos affaires. En d'autres termes, il spiritualisera et purifiera notre concept — il le libérera et le bénira, il révélera que les affaires de Dieu sont nos affaires.
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