Une étudiante qui rentrait à la maison pour la période de Noël rencontra une violente tempête de neige alors que le train approchait de sa destination. Une camarade de classe l’accompagnait qu’elle avait invitée à passer les vacances de Noël chez elle. Des vents puissants avaient formé de hautes congères. Des poteaux téléphoniques étaient arrachés. Un peu partout, de nombreuses voitures étaient immobilisées le long des routes couvertes d’une épaisse couche de neige.
Il avait été prévu que le père viendrait les chercher à la gare et les emmènerait à la maison, à environ treize kilomètres. L’amie exprima la crainte que peut-être le père le n’allait pas réussir et qu’il leur faudrait passer la nuit dans une salle d’attente sombre et glaciale. « Ne t’en fais pas, dit l’étudiante, il sera là. »
Et il était là ! Sachant que certaines des routes en lacets auraient été difficiles en voiture, sinon impossibles, le père avait attelé un vieux traîneau entreposé dans une grange et inutilisé depuis des années. Par endroits, pour éviter les dangers de la route, il avait coupé à travers champs. Mais il avait réussi.
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