Ce fut lorsqu’un surintendant d’une École du Dimanche de la Science Chrétienne me demanda de remplir le poste d’organiste à l’École du Dimanche que je commençai à m’intéresser à la Science Chrétienne. Ayant assisté à beaucoup d’autres écoles du dimanche, ce fut celle-ci qui m’apporta le plus de satisfaction.
Ma mère avait souffert de migraines pendant bien des années. Le même problème m’assaillit un jour à mon travail. Ma mère, n’ayant obtenu aucune aide de la médecine, insista pour que je sois traitée par une praticienne de la Science Chrétienne. Bien que je n’eusse pas de conversation avec la praticienne alors qu’elle me traitait, je savais que je devais faire trois choses pour me conformer aux concepts les plus élevés que j’entretenais à ce moment-là au sujet de la Science Chrétienne. Je ne devais ni prendre de médicaments, ni me conduire comme si j’étais malade et rester à la maison, ni dire que j’étais malade. J’appelai la praticienne le lendemain pour lui dire que j’étais guérie.
Après mon mariage, et pendant la guerre, je vivais avec une famille de Scientistes Chrétiens. C’est à ce moment-là qu’on me dit que je devais subir une opération chirurgicale. J’étais dans le plus grand désespoir en raison des nombreuses opérations dont j’avais été témoin dans ma famille. J’avais appris une chose pendant les années où je fréquentais l’École du Dimanche, c’était que Dieu aimait vraiment Ses enfants et que j’étais incluse dans Son amour. Je fis donc appel à une praticienne et je fus remplie de joie en l’entendant me dire: « Joan, ma chère, ne savez-vous pas que Dieu vous aime ? »
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