La Science Chrétienne
Christian Science: Prononcer ’kristienn ’saïennce. révèle Dieu comme étant l’Esprit infini, le seul créateur, et l’homme et l’univers comme étant Son concept spirituel. Ceci est conforme à l’enseignement de Christ Jésus, « Dieu est esprit, et il faut que ceux qui l’adorent l’adorent en esprit et en vérité. » Jean 4:24;
Il n’y a qu’un Dieu, et par conséquent un seul Esprit. Le mot « esprit » est un dérivé du verbe latin spirare, respirer. Dieu, Esprit, est le souffle même de la Vie pour Sa propre création infinie, le vivifiant Principe divin de tout ce qui existe réellement. L’Esprit étant le bien infini, il n’existe pas de mal dans l’Esprit. Dans le royaume de Dieu, de l’infinité qui renferme tout, l’erreur, le mal, n’a ni place ni manifestation ni identité. La totalité de l’Esprit exclut la possibilité d’une pensée-force opposée, s’exprimant à travers de mauvais esprits ou démons. Mary Baker Eddy explique ceci dans le livre d’étude Science et Santé avec la Clef des Écritures: « L’Esprit étant Dieu, il n’y a qu’un Esprit, car il ne peut y avoir qu’un infini, et partant un Dieu. Il n’y a ni plusieurs esprits ni plusieurs dieux. Il n’y a pas de mal dans l’Esprit, parce que Dieu est Esprit. » Science et Santé, p. 334;
La compréhension de Dieu comme étant le seul Esprit peut nous aider à surmonter la croyance généralisée aux esprits comme étant un composé d’éléments surhumains dont certains pourvoient au bien-être de l’humanité, alors que d’autres contribuent à lui faire du mal. Le mesmérisme qui même aujourd’hui obscurcit la pensée de beaucoup de gens, peut être comparé à un brouillard s’élevant du sol (voir Gen. 2:6). Il est engendré par des théories matérielles qui d’une manière ou d’une autre souscrivent à la croyance en la réalité du mal. Sous l’influence illusoire de cette superstition, l’homme mortel se croit confronté par des forces qu’il ne peut contrôler et qui exercent une influence pernicieuse ou destructive. Les tremblements de terre, les inondations, les orages accompagnés de grêle, les éclairs, les fléaux, les épidémies, sont souvent attribués à des esprits malins et courroucés dont les êtres humains doivent éviter ou apaiser la malignité.
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