Lorsque les médecins eurent signifié à mon père qu'il ne lui restait plus que peu de temps à vivre en raison de la tuberculose dans ses ultimes phases — j'avais 8–9 ans à l'époque — ma famille entreprit l'étude de la Science Chrétienne. En l'espace de quatre mois, grâce aux prières pleines de consécration d'un praticien de la Science Chrétienne qui avait pris le cas en main, mon père fut complètement guéri. Cette guérison, ainsi que mon inscription à l'École du Dimanche de la Science Chrétienne qui s'ensuivit, implantèrent en moi une foi profonde en l'efficacité de la Science Chrétienne.
Un jour, environ deux semaines avant de terminer ma seconde, je tombai évanoui dans une épicerie de quartier. Je revins à moi chez un docteur où quelques amis m'avaient aimablement transporté. Le médecin en était à m'examiner, après quoi il diagnostiqua l'effondrement d'un poumon et un déplacement du cœur. On me dit qu'il me faudrait aller à l'hôpital pendant un mois et que si mon état s'améliorait alors suffisamment on me ferait passer une année en sanatorium pour me remettre. A ce moment-là, j'appris au médecin que mes parents étaient Scientistes Chrétiens et que je désirais être traité en Science Chrétienne. Le docteur dit que, dans ces conditions, il ne pouvait en faire davantage.
Mes parents n'étaient ni l'un ni l'autre à la maison; on m'emmena donc chez un ami, un praticien, qui s'occupa de moi avec beaucoup de bonté jusqu'à ce que mon père vînt me chercher pour rentrer chez nous. Je fus dûment traité en Science Chrétienne et cinq jours après, je partais pour un mois de vacances au bord du lac Érié, au cours duquel je fis quotidiennement plusieurs heures de natation. J'étais complètement guéri.
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