Il n'y avait pas bien longtemps que j'étudiais la Science Chrétienne lorsque je me blessai à la cheville si grièvement que l'os pointait à travers les chairs. Mon mari sortit immédiatement pour demander de l'aide à un praticien de la Science Chrétienne, qui se mit au travail et commença de prier. Avant peu, toute crainte et toute douleur disparurent. Je passai une bonne nuit; le lendemain matin je me levai et, m'aidant de deux cannes pour marcher, je pus préparer le petit déjeuner de mon mari.
Dans le courant de l'après-midi, je me reposais sur le divan lorsque ma voisine, qui était infirmière, vint me voir. Elle retira la serviette qui enveloppait ma jambe pour examiner la plaie, et déclara qu'à son avis j'avais une fracture ouverte et que « jamais la Science Chrétienne ne guérirait cela. » Je répondis seulement: « Nous verrons. »
Le deuxième jour, après avoir préparé le petit déjeuner, je décidai de me recoucher et de me mettre à étudier. J'étais debout près de mon lit lorsque ces paroles du cantique n° 64 de l'Hymnaire de Christian Science me vinrent en pensée:
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